Page:The Power of lust (extract A night in a moorish harem), 1991.djvu/24

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Alex que c’était encore plus délicieux qu’avant. À nouveau un frisson sauvage et adultère s’empara de chaque parcelle de mon corps et je gémis longuement d’extase. À ce moment, la porte d’entrée s’ouvrit bruyamment. Ce devait être mon mari qui revenait à l’improviste.

« Mon Dieu, comte ! ai-je pleuré, vite sous le lit ». Il retira de moi sa longue tige raide en jurant de déception de ne pas pouvoir finir et se précipita sous le lit, traînant ses vêtements avec lui.

Mon mari était tout rayonnant de joie d’avoir pu revenir si vite. Je le reçus avec de grandes démonstrations. « Comme ça te donne des couleurs de me revoir », dit-il.

Quand il se fut déshabillé et mis au lit, je lui rendis ses caresses avec tant d’ardeur qu’il entra bientôt là d’où Alex et le Comte s’étaient si précipitamment retirés. Je me sentais bien, mais feignis beaucoup plus de plaisir que ce que je ressentais.

Pour consoler le Comte, je laissai tomber une main le long du lit, qu’il fut assez poli pour embrasser, et, comme le visage de mon mari était enfoui dans mon cou pendant ses poussées répétées, j’envoyais des baisers de mon autre main à Alex qui regardait par la porte du placard. Alors je donnai un mouvement de reins qui fit éjaculer mon mari et je continuai jusqu’à en avoir extrait plusieurs jets fournis. Il était trop tôt pour que je puisse jouir à nouveau ; mon but était de l’amener à un profond sommeil, mais mon fourreau enflammé par les deux assauts précédents fut tellement reconnaissant du bain de sperme qui l’inondait que je me sentis récompensée de ces péripéties.

Bientôt mon mari tomba dans un profond sommeil. Je fis alors signe au Comte de partir. Tenant ses vêtements d’une main et sa tige toute raide de l’autre, il se glissa au-dehors. Peu de temps après, nous entendîmes la porte d’entrée se refermer et Alex, inconsolable, sortit avec précaution. Il disparut également, ses vêtements sous le bras en tenant à deux mains son engin rigide.