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Page:The Power of lust (extract A night in a moorish harem), 1991.djvu/30

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Il dut s’allonger sur moi en écartant les jambes. Dans cette position, il guida sa hampe entre les miennes, se fraya un chemin dans ma toison et commença à pénétrer mes lèvres serrées. Mes sens étaient tellement excités à ce moment que j’arrivais à peine à m’empêcher d’ouvrir les cuisses pour lui laisser l’entrée libre.

Ma période mensuelle était juste sur sa fin, période à laquelle une femme est particulièrement sensible au désir, mais je l’ai contraint à pousser très fort pour parvenir à son but. Non seulement mes cuisses étaient fermées, mais je contractais étroitement mes lèvres et les muscles de mon vagin. Il donna une forte poussée, mais inefficace, puis il pressa mes seins et les suça, jusqu’à ce que mon désir devienne incontrôlable et que je cède avec une sensation troublante, laissant son membre plonger dans mon antre. Il s’épancha abondamment en moi avec un long soupir de satisfaction et de triomphe.

Je ne pus m’empêcher de pousser un soupir tout aussi profond, mais cela ne fit que parfaire l’illusion, car il pensa que c’était dû à la douleur que j’avais éprouvée à la perte de mon pucelage. Il m’a caressée et consolée par des baisers et des caresses jusqu’à ce que nous soyons tous les deux prêts pour un autre assaut. Cette fois, il ne s’attendait pas à ce que je sois particulièrement timide devant son étreinte. Puis il s’endormit.

Je savais qu’il se réveillerait le matin, le membre tout raide, aussi juste avant l’aube, je suis allée prendre un bain et mettre mes vêtements les plus séduisants, je me suis parée de tous mes bijoux et je me suis parfumée avec du musc. Je l’entendis alors appeler « Zuleika, Zuleika ! ».

Je me précipitai à son chevet.

« Zuleika demande que vous l’excusiez, monseigneur, lui dis-je. Je vous prie d’avoir pitié de la pauvre fille. Puis j’ai tiré le drap et exposé les taches de sang de mes règles.

— Voyez, lui dis-je, vous l’avez massacrée.

— Alors tu dois venir te coucher avec moi, » dit-il.

C’était exactement ce que je cherchais ; je m’empressai de le rejoindre et pour la troisième fois j’obtins tout ce que je voulais.