Page:The Power of lust (extract A night in a moorish harem), 1991.djvu/32

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« Le bébé a été bien nourri, dit Inez, ce qui fit rire les dames.

— Regardez Zuleika, dit une autre d’un ton alarmé, elle s’est évanouie ».

Zuleika était en effet devenue très pâle. On lui donna un verre d’eau et on lui baigna le front ; une autre prit l’écharpe de sa main et essuya le sang qui coulait entre ses cuisses. Je soutenais sa tête de mon bras et lui donnais des baisers qu’elle ne tarda pas à me rendre. Alors elle jeta une de ses cuisses sur moi pour cacher les traces de sa blessure, disant à celle qui tenait l’écharpe qu’elle lui en faisait cadeau.

Celle-ci, nommée Laura, était italienne. C’était elle que j’avais fait mouiller avec mes doigts pendant la première histoire. Elle avait environ vingt-quatre ans et était la plus gironde de la pièce. Ses fesses immenses et sa poitrine tremblaient lorsqu’elle bougeait, mais s’arrondissaient en un contour parfait quand elle s’immobilisait. Elle avait des fossettes sur les joues et le menton, des fossettes aux coudes et aux genoux et des fossettes sur les hanches.

Ses traits étaient très agréables, sa bouche rose, son nez retroussé et ses yeux noirs ombragés par de longs cils. Elle avait de longs cheveux retenus en mèches par un grand peigne de coquillages — peut-être pour augmenter sa taille, qui n’était que moyenne malgré son poids important. Elle n’était cependant pas enveloppée, et elle avait de jolis poignets et chevilles.

« Je crois que j’ai le temps de raconter une longue histoire, » dit-elle en jetant un coup d’œil apitoyé sur le petit objet rétréci entre mes jambes. Au milieu des rires provoqués par cette remarque, elle s’assit près de moi de l’autre côté de Zuleika, d’où elle pouvait caresser mes parties génitales d’une main pendant qu’elle racontait son histoire.