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Page:The Power of lust (extract A night in a moorish harem), 1991.djvu/38

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« Comme c’est exquis ! » répondis-je.

Il donna une poussée qui me permit de le faire entrer jusqu’à la garde. Puis une autre, puis une autre, chacune d’elle avalée avec plus d’avidité. Ma chair et mon sang ne pouvaient plus supporter le plaisir qui envahissait mes entrailles ! Je frissonnais depuis le ventre jusqu’au bout des doigts ! Je jouis en inondant son gland brûlant ; en réponse, il jaillit en éclaboussant mon bas-ventre surchauffé. On aurait dit que nous étions en train de nous souder l’un à l’autre à notre point de contact. Puis nos muscles se détendirent dans cette douce humidité et nous nous abandonnâmes pendant quelque temps à un repos voluptueux.

« Maintenant, embrasse-moi et va-t-en, lui dis-je, et si tu apprécies la faveur que je t’ai accordée, quitte cette maison tout de suite ». Mon but était de laisser sa place à un autre beau Russe, qui pourrait venir frais et dispos pour un nouvel assaut, et dont mes mains avides pourraient explorer les parties génitales pour satisfaire mon désir insatiable. Je voulais effacer des mois de frustration par une nuit de plaisir sans bornes. Plus de six fois avant la fin du bal, je fis venir dans ma chambre un officier russe, chaque fois différent, que je renvoyais comme le précédent. Chaque fois je jouissais complètement, mêlant ma mouillure italienne au sperme russe. Le jour suivant, mon miroir me montra des yeux marqués de profondes cernes sombres ; j’étais un peu languissante, mais pendant quelques jours au moins je ne fus pas troublée par le désir.

La charmante et accorte Italienne caressait doucement mes parties génitales tout en parlant et mon sexe commençait à se dresser sous cette délicate attention. Quand elle eut fini son histoire, elle s’agenouilla devant moi, le front sur le tapis, en disant dans un rire, « Salaam, alirkoum, » ce qui en mauresque signifiait qu’elle était à mon service.

Ses larges fesses rondes se dressaient en l’air et me parurent si douces et si tentantes que je la montai