Page:The Power of lust (extract A night in a moorish harem), 1991.djvu/40

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avoir la plus petite, de même que pour l’autre chacune voulait avoir la plus grande. La jeune persane qui raconta son histoire plus tard dans la soirée gagna la palme de ce dernier concours. Sa minuscule fente paraissait d’autant plus petite que les poils qui l’entouraient étaient à peine assez longs pour friser. Zuleika avait les plus gros seins, tandis que les cuisses de Laura défiaient la compétition.

« Tiens, Anna, prends l’écharpe, interrompit l’Italienne, et raconte au Capitaine l’histoire de Circassia ».

La jeune femme ainsi interpelée avait environ dix-neuf ans et elle était très grande et mince. Ses membres fuselés étaient très fins, tout comme son tour de taille, que j’aurais pu enserrer de mes deux mains. Ses seins joliment découpés étaient aussi érigés que s’ils avaient été sculptés dans l’albâtre, dont ils avaient la blancheur. Ses cheveux étaient d’une extrême blondeur, mais les poils de son ventre étaient d’un roux flamboyant, ce qui, d’après mes lectures, était le signe d’une propension au libertinage.

Si c’était vrai, son visage ne le révélait pas du tout. Ses grands yeux bleus vous regardaient avec l’innocence de l’enfance, et la délicate nuance rosée de ses joues changeait à chaque nouvelle émotion. Elle ne parut cependant pas sensible au privilège que lui conférait l’écharpe. Elle s’étira entre mes cuisses et s’appuya du coude sur un coussin en soutenant de la main sa tête gracieuse. Sa poitrine reposait sur mon ventre et ses seins blancs comme neige emprisonnaient mon sexe dont le gland rougissant jaillissait alors qu’elle me dévisageait tout en racontant son histoire lascive.