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Chapitre VI

L’histoire de la dame Circassienne

Le vieux chef très puissant à qui ma mère était mariée n’avait pas d’enfants et la religion grecque lui interdisait d’avoir plusieurs épouses. J’étais le seul enfant du premier mariage de ma mère et j’étais le seul objet de son affection. Le vieux chef n’était pas susceptible d’avoir d’héritier direct, et, comme il avait maintenant soixante-dix ans, le grand projet de ma mère était qu’il me désigne pour lui succéder à la principauté. Il y consentit à la condition qu’elle accepte ses amours avec d’autres femmes.

Elle accepta et l’étrange contrat fut conclu – j’étais présente comme témoin. À l’insu de chacun d’eux, j’avais pris depuis longtemps l’habitude de fréquenter une petite alcôve à côté de leur chambre où on gardait quelques livres. Elle était séparée du reste de la pièce par un rideau et communiquait également avec ma chambre par un panneau coulissant. Ce genre de panneau secret que j’avais découvert accidentellement était fréquent dans les vieux châteaux comme celui où nous vivions. J’étais la seule à le connaître ou, si le vieux chef en connaissait l’existence, il ne s’en souvenait pas.

J’y avais été témoin de tous les secrets de la chambre conjugale, et bien sûr cela excita rapidement mes envies. Ma mère était encore jolie et bien en chair et elle aimait vraiment les rapports conjugaux, mais cela lui demandait toujours beaucoup d’efforts pour amener lentement le vieux chef au plaisir. En discutant de leur accord, je l’entendis