Page:The Power of lust (extract A night in a moorish harem), 1991.djvu/46

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d’une main et mon ventre de l’autre. Je ne criai pas ; cela aurait pu alerter ma mère.

Puis je lui tournai le dos, lui se tenant du côté en pente qui permettait de sortir du bain – ainsi bien sûr, j’étais obligée de rester. « Tout va bien, Anna, dit-il, nous allons prendre un bon bain ensemble ».

Je cherchai à le contourner, mais bien sûr, il m’attrapa. « Je vais crier », dis-je, mais bien sûr je ne le fis pas. Je fus bientôt dans ses bras, son manche raide s’écrasant contre mes fesses et chacune de ses mains enserrant un de mes seins. Mes craintes qu’il soit réticent disparurent aussitôt, aussi continuai-je à montrer plus de résistance. Je luttai pour m’échapper, mais surtout pour me retrouver face à lui. Ceci me ramena le dos du côté incliné de la baignoire, contre lequel il me pressait.

À moitié debout et à moitié allongée, ma tête sortait encore de l’eau. La tension de la situation et la chaleur de l’eau transformaient le bain en une mer de volupté. Bien sûr, j’avais mis mes deux bras autour de lui pour ne pas couler et ses deux mains étaient donc libres. Il eut besoin des deux pour insérer son membre à moitié raide en moi. Leuline et ma mère lui avaient pompé toute son énergie la nuit précédente et seule l’excitation de ce genre de viol pouvait le faire se raidir à nouveau.

À moitié ramolli comme il l’était, il me remplissait complètement en me faisant tout d’abord un peu mal, mais je le sentis de mieux en mieux, envahissant tout mon être d’une sensation plus que lascive. L’eau chaude entrait et sortait de mon antre à chaque poussée, me donnant la sensation de jets de sperme. Toute l’eau du bain semblait être du sexe masculin, m’embrassant et augmentant mon excitation.

Pendant plus de cinq minutes, je m’abandonnai à la délicieuse impression de me dissoudre, pas aussi excitante qu’avec le jeune prêtre la veille, mais plus durable.