Page:The Power of lust (extract A night in a moorish harem), 1991.djvu/45

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quand je sentis sa petite hampe rétrécie sortir de mon fourreau dans un mélange de sang et de sperme.

Il était déjà saisi de remords. Il s’appuya sur un coude et regarda mon visage avec pitié. Comme je rougissais, je couvris mon visage de mes mains. « Je t’ai souillée, dit-il, misérable que je suis, que le ciel me pardonne ! ». Il se leva du lit sans même m’embrasser et s’agenouilla devant son crucifix. « Veux-tu te joindre à moi pour demander pardon au ciel pour mon péché ? » supplia-t-il.

Je donnai une excuse et je me suis enfuie. Le lendemain matin, j’appris qu’il était allé rejoindre un couvent dans les montagnes. Je me suis alors rendu compte que je l’avais laissé partir trop vite. Je n’en avais pas eu assez. Peut-être un bain chaud m’aiderait-il à me calmer.

Il y avait un grand bain de la taille de la moitié d’une pièce et une fois rempli, assez profond pour couvrir mes seins ; on y accédait de ma chambre par une porte et de celle de ma mère par une autre. À cette heure matinale, elle était occupée avec ses servantes. C’était l’heure où le vieux chef prenait son bain et il y avait toujours de l’eau chaude ; je décidai de le partager avec lui. J’avais jusqu’alors douté que le vieux chef veuille toucher la fille de sa femme, mais mon succès auprès du jeune prêtre me donna du courage.

J’ôtai tous mes vêtements dans ma chambre et regardai par la porte. Il flottait sur le dos en jouant avec son manche, qui se balançait mollement dans l’eau. Je l’avais presque toujours vu raide et je me promis le plaisir de le mettre dans cet état, que je trouvais bien préférable. Bientôt il se tourna de côté vers moi, d’où je ne pouvais pas le voir ; c’était le moment d’entrer comme si je ne savais pas qu’il était là.

J’ouvris soudainement la porte en courant et je sautai dans l’eau. Je nageai dans le bain, fis demi-tour et me présentai à sa vue avec le visage même de l’étonnement. D’abord je couvris mon visage de mes deux mains, puis mes seins