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Page:The Power of lust (extract A night in a moorish harem), 1991.djvu/50

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se furent dissipés, je m’affaissai dans un état de demi-conscience d’où je ne sortis pas ce soir-là.

C’était un repos profond, rêveur, voluptueux, à peine troublé par une sensation de brûlure passagère dans ma gaine dilatée. Le vin et les multiples queues avaient fait leur œuvre. Les jeunes gens me mirent au lit puis se dispersèrent tranquillement. Ce fut la seule fois où je disposai de mon harem. Le lendemain, nos troupes perdirent une bataille, le château tomba aux mains de l’ennemi, et je fus emmenée au marché aux esclaves.

Anna terminait son histoire. Mon membre pointait encore entre ses seins, mais il était maintenant raide de désir. La belle Italienne lui avait redonné de la vitalité, bien qu’elle n’en eût reçu aucune récompense. Mes boules s’étaient à nouveau remplies à l’écoute du conte passionnant de l’innocente Circassienne.

La tenant toujours entre mes cuisses, je la retournai pour la mettre sur le dos au-dessous de moi. Puis, plaçant mes cuisses entre les siennes, je séparai les poils roux et brûlants qui dissimulaient des lèvres tout aussi brûlantes et ainsi commença le jeu. Sa chaleur et sa délicieuse humidité firent bouillir le sang dans mes veines. Mon gland s’attarda un moment sur les lèvres, puis se glissa dans les plis de son fourreau. Quand je fus complètement entré, son antre se contracta convulsivement autour de mon membre et Anna jouit. De fait, toutes les femmes étaient à point, et je dus faire face successivement à leur nouvelle ardeur.

Anna devint passive, mais elle semblait encore jouir des poussées profondes et rapides que je continuai à donner dans son ventre blanc. À chaque poussée, je devenais de plus en plus enragé. J’enfilais ma pine encore et encore, tentant vainement d’atteindre sa matrice. Je sentais que si ma hampe allait assez loin dans ce corps mince, je pourrais parvenir à cette exquise connexion. Elle sembla deviner mon souhait ; elle ouvrit les cuisses et, remontant les genoux, enroula ses