Page:The Power of lust (extract A night in a moorish harem), 1991.djvu/51

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longues jambes fines autour de ma taille avec une force dont je ne l’aurais pas crue capable.

Le regard fixé sur son doux visage, je plongeai de nouveau. Elle était si offerte à ma poussée que je lui enfonçai la matrice dans le ventre. Le sperme jaillit de mon engin en jets répétés et je poussai un soupir de totale satisfaction. J’étais complètement épuisé ; j’étendis sur elle mon corps inerte et je sombrai dans une langueur voluptueuse qui laissa peu à peu la place au sommeil.

Je dormis une heure entière, me dirent-elles au réveil, et je sentis ma vigueur revenir. Elles m’apportèrent des sucreries et des sorbets pour me rafraîchir et l’une d’entre elles fut assez prévenante pour me montrer les toilettes. Puis j’entendis qu’Anna avait laissé tomber l’écharpe sur les épaules de deux jeunes filles sans leur dire qui devait la garder, et elle s’en remit malicieusement à moi pour le choix.

Ignorant la consigne, je leur demandai à toutes deux de nous accorder une histoire. Ce fut une jeune fille portugaise nommée Virginia qui commença. C’était une jolie petite créature qui n’avait pas plus de dix-sept ans et très petite pour son âge. Ses membres légers, magnifiquement arrondis, se terminaient par les mains et les pieds les plus mignons qui soient. Ses jolis seins, quoique petits, étaient de parfaits hémisphères.

Ses cheveux étaient très sombres et tressés en mèches soigneusement enroulées autour d’un peigne rond. Son teint était sombre, mais ses grands yeux enflammés indiquaient du sang nordique. Elle et sa petite compagne étaient assises de chaque côté de moi, chacune au creux d’un de mes bras, et Virginia commença son histoire.