Page:The Power of lust (extract A night in a moorish harem), 1991.djvu/58

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sans sortir de moi et, s’appuyant des pieds sur le bord du lit, il plongea en moi irrésistiblement. Il parut enfoncer mon ventre jusque sous mes seins. Mon corps tout entier n’était plus qu’un fourreau frémissant d’une satisfaction lascive. Je supportai sans broncher deux autres plongeons de ce genre, puis vint le grand frisson. Au milieu de cela, je sentais son sperme jaillir comme une fontaine dans mon ventre. Nous nous affaissâmes simultanément en un long soupir et Pedro me soulagea bientôt de son poids.

Par deux fois encore avant son départ, je fus aiguillonnée par le désir de solliciter son terrible assaut ; puis je le laissai partir. J’étais complètement comblée et repue. Trois jours plus tard, nous dûmes nous enfuir ensemble pour échapper à la menace d’être dénoncés par ma femme de chambre. Nous arrivâmes sans encombre sur la côte africaine.

Quand la jolie petite Portugaise eut terminé son histoire, j’échangeai des baisers avec elle et sa compagne. Ma queue commençait à se dresser, mais une autre histoire allait lui donner le temps de se préparer pleinement.

« Mon amie s’appelle Myrzella. Elle est persane », dit Virginia, qui reçut un autre baiser pour cette information.

J’embrassai aussi Myrzella lorsqu’elle la présenta. Elle était plus jeune que Virginia. La fente rose entre ses cuisses était rehaussée par une minuscule ligne de poils ; cela ressemblait à un délicat coquillage. Elle était assez dodue. Ses cuisses étaient presque deux fois plus grandes que celles de Virginia. Ses seins étaient aussi développés que ceux d’une fille du nord de plusieurs années son aînée.

Ses cheveux, noirs et brillants comme une aile de corbeau, descendaient en deux grosses tresses jusqu’à ses mollets quand elle se tenait debout. Ses yeux étaient aussi noirs que ses cheveux, grands et brillants, mais pleins de tendresse. Ses joues étaient plutôt pâles, sauf sous le coup de l’émotion, mais ses lèvres étaient d’un rouge cramoisi.