Aller au contenu

Page:The Power of lust (extract A night in a moorish harem), 1991.djvu/61

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

appartenait à celui de la pièce voisine. Je m’en revêtis et complétai mon déguisement en cachant mes cheveux sous le turban du garçon. Puis je regardai par la fenêtre pour voir quelles étaient mes chances d’évasion.

Bien que je me trouve au deuxième étage, ce n’était pas très haut. Je sautai, puis me dirigeai vers la rivière où je bondis dans un bateau amarré à la rive. Après l’avoir détaché, je dérivai dans le courant. La nuit était très sombre et mon bateau fut presque renversé par un navire qui passait, mais j’appelai à l’aide et on me fit monter à bord. Je pus alors respirer librement.

Le navire descendit le golfe Persique, puis, traversant la Mer Rouge, se dirigea vers l’Égypte. Je me rendis à Alexandrie en compagnie de plusieurs marchands, et je plus à l’un d’eux qui m’engagea comme assistant. Il faisait du commerce entre Alexandrie et le Maroc et il était propriétaire du navire sur lequel nous naviguions depuis le précédent port. Nous étions les seuls occupants de la cabine. C’était un beau jeune homme et je fus conquise par sa très grande gentillesse, mais je ne révélai pas le secret de mon sexe.

La veille de notre arrivée au Maroc, il m’appela dans sa cabine pour l’aider à prendre un bain. Il se dévêtit sans gêne devant moi ; son corps était viril et gracieux mais j’étais fasciné par ses attributs sexuels. Ils pendaient à son ventre, inconscients qu’une femme les regardait, ou plutôt les touchait, car je m’efforçais de les toucher aussi souvent que possible pendant que je le baignais.

Quand j’eus fini de l’éponger, il s’étendit sur le canapé pour que je le frotte. Mes mains explorèrent toutes les parties de son corps, en s’attardant plus longuement sur ses cuisses — à tel point que sa hampe commença à se dresser sous la friction.

« Prends garde, mon petit, dit-il, à ne pas susciter une envie que tu ne pourrais pas satisfaire. »

Je sentais mes joues brûler, un doux désir m’échauffa