Page:The Power of lust (extract A night in a moorish harem), 1991.djvu/62

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le sang et j’étais sur le point de découvrir ma poitrine et révéler mon sexe — mais la pensée de la terrible douleur dans le harem turc me retint. Je me penchai et embrassai ses cuisses ; mes joues effleuraient ses parties génitales. Puis je m’assis et le regardai s’habiller jusqu’à ce que l’objet qui m’attirait tellement fût dissimulé par ses vêtements.

Le lendemain, nous étions arrivés au port et un austère pacha, Abdallah, monta à bord. Quand leur affaire fut conclue, la conversation tourna sur moi.

« Je vais vous en faire cadeau, dit le jeune marchand. Pauvre petit ! Ce serait dommage de le garder en mer ». Il ne savait pas à quel point j’étais découragée par ce changement de maître, mais ce n’était pas l’heure des explications.

Abdallah me prit avec lui et me confia à son eunuque en chef auprès de qui je cherchai la première occasion de révéler mon sexe et mon infortune. Cela fait maintenant une semaine que je suis ici, mais le Pacha ne m’a pas encore touchée. Je suppose que je dois cette dispense au fait que je ne suis pas vierge.

« Mais de toute façon tu es vierge, charmante Myrzella », lui dis-je quand elle eut fini de parler en serrant mon bras autour de sa taille et en l’embrassant. Elle échappa à mon emprise et saisit les mains de Virginia. « Viens, dit-elle, dansons une valse ».

Les deux jolies créatures se mirent à virevolter au milieu de la pièce dans les bras l’une de l’autre, tandis qu’Inez prenait un luth et jouait un accompagnement. À chaque tour, Virginia serrait plus étroitement Myrzella et leurs bas-ventres se frottaient l’un contre l’autre. Ce mouvement enivrant continua jusqu’à éveiller complètement leur désir déjà éveillé.

Elles s’arrêtèrent soudain de danser et s’étendirent sur les coussins en s’étreignant, les jambes entrecroisées de telle sorte que les lèvres de leurs entre-jambes se frottaient. Non seulement elles s’embrassaient avec ces lèvres-là, mais leurs bouches