Page:The Power of lust (extract A night in a moorish harem), 1991.djvu/63

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aussi se joignaient dans cette étreinte stérile. Je fus sur elles en un clin d’œil et guidai ma queue rigide entre elles.

Après l’étreinte épuisante avec Anna, la sieste m’avait rendu toute ma vigueur et l’histoire des jeunes filles avaient réveillé mon désir. La pensée de fournir à Myrzella sa première extase me donnait l’impression d’être un cheval de guerre allant à la bataille. Mon membre se glissa entre elles, sans pénétrer ni l’une ni l’autre, mais leurs lèvres humides l’inondaient délicieusement. Comme je donnais une autre poussée, Virginia passa sournoisement sa main derrière elle et me guida dans sa propre gaine.

Elle était au-dessus de Myrzella, coincée entre elle et moi. Elle n’eut pas plus tôt serré mon ventre contre ses petites fesses que je sentis mon gland baigner dans sa liqueur. Pour moi, la sensation était exquise ; pour elle, ce fut l’extase finale. Elle s’affaissa avec un long soupir, se relâchant totalement sur Myrzella.

Je retirai ma tige et la plongeai toute dégoulinante des fluides de Virginia dans la jolie Persane. Trempée comme elle était, elle eut un peu de difficulté à pénétrer cet orifice si serré, mais elle y entra jusqu’à la garde. Les minces fesses de Virginia étaient peu gênantes. Ma main pouvait caresser à la fois leurs seins. Mon gland, vivifié par leurs fluides combinés, butait contre les entrailles de Myrzella ; je couvrais de baisers le cou de l’une puis de l’autre. J’explosai dans une double extase que mes nerfs surmenés ne pouvaient plus retenir, et le sperme finit par jaillir avec bonheur.

Pendant que je me répandais, la jolie Persane connut son premier frisson de jouissance. Ses cris de plaisir étaient si forts et si longs que les femmes durent la faire taire de peur que cela n’alarme les gardes postés à la porte. J’eus juste la force de retourner Virginia sur le dos à côté de Myrzella. Puis, les serrant tous les deux dans mes bras, j’étendis une jambe entre les cuisses de chacune et nous nous abandonnâmes à