Page:The Power of lust (extract A night in a moorish harem), 1991.djvu/67

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c’était ce que la nature exigeait impétueusement de moi. Je n’hésitai plus à relever sa chemise et à monter sur elle.

Mon ventre nu s’enfonça entre ses cuisses nues ; mon visage était enfoui entre ses seins. Comment mon sexe la pénétra-t-il, je ne le sais pas, mais il fut avalé jusqu’à la garde et j’éprouvai une sensation plus douce que ce que j’avais jamais imaginé. J’essayai d’entrer plus profondément ; il y avait encore de la place, mais, bien qu’elle m’aidât en me serrant dans ses bras, je ne pus aller plus loin. Je poussais de toutes ma force pour faire quelque chose, je ne savais pas quoi, quand Rosemonde poussa un profond soupir et resta parfaitement immobile.

« Je t’ai fait mal, chère Rosemonde ? » demandé-je anxieusement.

Elle éclata d’un rire joyeux.

— Retire-toi un moment, dit-elle, et reposons-nous ».

Je ne voulais pas du tout, mais je me retirai et m’allongeai à son côté, ma tige humide et rigide serrée contre sa cuisse rebondie.

Il fallut une demi-heure avant qu’elle me laisse entrer à nouveau en elle. Je passai tout ce temps à embrasser passionnément ses joues, ses lèvres et ses seins et à explorer avec mes mains tous les secrets de son corps. Elle donna le signal en me soulevant à moitié, et je m’écroulai à nouveau sur son corps voluptueux. Ma hampe fut engloutie du premier coup, je la plongeais encore et encore, le guidant maintenant d’un côté puis de l’autre de sa gaine béante. La chaleur et l’humidité étaient plus délicieuses qu’avant. Je sentis quelque chose quitter mon ventre ; cela jaillit de mon gland queue et se perdit dans l’abondant fluide qui inondait Rosemonde. Je poussai un gémissement d’extase qui expliqua les soupirs profonds qu’elle poussait à nouveau, puis je ne sentis plus rien.

Quand je redevins conscient, elle se tenait au-dessus de moi en train de me jeter de l’eau sur le visage.

« Comme tu m’as fait peur, dit-elle. Tu étais tellement immobile et tu semblais si pâle.

— Je veux seulement rester tranquillement dans tes bras », ai-je dit.

Elle me prit tendrement dans ses bras et je