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Page:The Power of lust (extract A night in a moorish harem), 1991.djvu/68

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m’endormis la tête sur la poitrine et la main entre ses cuisses. Le lendemain matin, nous restâmes sages. Elle avait cueilli le fruit avant qu’il ne soit mûr et aucun autre n’avait poussé pendant la nuit pour le remplacer. Ma tige ne se raidirait pas à la demande de ses baisers les plus chauds.

Après le petit-déjeuner, la voiture vint me chercher et je m’en fus à l’école. Je rendis visite à Rosemonde chez elle plusieurs fois par la suite, mais elle ne m’a plus jamais permis de prendre la moindre liberté avec elle, pas même un baiser de bienvenue ou d’au revoir. Son mari s’était amendé et elle n’avait plus de raison de chercher à se venger.

« Je pense, dit Inez, que c’est une honte de la part d’une femme mariée d’avoir séduit un garçon innocent.

— Comme cela a dû être agréable, dit Anna, de prendre le pucelage d’un jeune homme.

— Racontez une autre histoire, capitaine, dit Hélène.

– Oh oui ! », firent toutes les autres en écho.