Page:The Power of lust (extract A night in a moorish harem), 1991.djvu/71

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aucun homme m’embrasser depuis ces délicieux jours d’autrefois ».

Elle continuait d’aller et venir en me portant toujours dans ses bras. Mon visage reposait sur ses seins, chacun aussi gros que ma tête. Comme je les embrassais avec passion, ma main droite descendit vers ses cuisses, en rejeta le fin tissu oriental et y découvrit une touffe frisée. En poussant plus loin, elle trouva deux lèvres chaudes et humides. Je relevai mon visage vers le sien et nous échangeâmes un baiser. Il était bien différent de ceux qu’elle m’avait donnés jusqu’ici. Il était aussi voluptueux que le mien et il se prolongea jusqu’à ce que je sente que ses autres lèvres se gonflent et s’échauffent sous ma main.

Charlotte me déposa rapidement sur le lit. Son humeur avait évolué de la tendresse maternelle vers la passion fougueuse. Elle me mit sur le dos et bondit sur moi. Elle m’entoura de ses grands bras musclés ; ses lourdes cuisses se posèrent sur les miennes. Bien qu’immenses, on aurait dit celles d’une jeune fille. Ce fut sa main qui guida ma tige rigide dans son épaisse profusion de poils jusqu’à ce qu’elle entre et s’enfonce jusqu’à la garde sous l’impulsion de ses puissants coups de reins. J’étais si fermement cloué sur le lit par son poids que je ne pouvais plus bouger. Je me sentais comme si j’étais sur le point d’être violé comme une femme. C’était une sensation nouvelle tout à fait agréable.

Charlotte se retourna brusquement sur le dos sans relâcher sa prise le moins du monde et je me retrouvai sur elle, mais c’était elle qui contrôlait toujours la situation. Ses bras et ses jambes s’enroulaient autour de moi de façon si serrée que mes os en craquaient presque. Seul le mouvement ondulant de ses reins déplaçait nos corps étroitement collés l’un à l’autre. Sa bouche était soudée à la mienne comme si elle allait me dévorer ; elle pressait son ventre contre mon gland.

Je sentis l’orgasme m’envahir dans sa puissante étreinte. À ce moment, ses muscles