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Chapitre XIV

L’histoire de la dame Française

À l’âge de seize ans, j’étais encore pensionnaire dans un couvent à Paris. Lisette, ma compagne de chambre, était mon amie la plus proche. Je lui confiais tous mes secrets et je supposais qu’elle en faisait de même, surtout concernant ce que nous pouvions apprendre sur le mariage et les rapports sexuels, un sujet qui exerçait sur nous une étrange fascination, même pour une fille comme moi qui n’avais eu aucune liaison, mais qui espérais avec impatience un mariage précoce.

Un soir, Lisette entra dans la chambre avec une expression de triomphe. Elle apportait quelque chose dans une petite boîte qu’elle me montra en faisant des mystères. L’étiquette disait : “Un Godemiché Superfin”.

Elle ferma la porte à clé et, ouvrant la boîte, elle sortit un objet en caoutchouc de la taille d’un sexe masculin prêt à l’action. Elle m’expliqua ce que c’était et me dit qu’elle l’avait obtenu de sa modiste comme une grande faveur et l’avait payé cinq cents francs. Elle était impatiente de l’essayer.

« Mais, Lisette, dis-je, si nous l’essayons et qu’un jour nous nous marions, nos maris s’en rendront compte.

— Oh ! dit-elle, nous pourrions facilement les tromper ».

Après avoir rempli le godemiché d’eau tiède et l’avoir attaché à mes reins avec ses sangles, elle me persuada de jouer le rôle de l’homme. Elle me poussa dans le lit et me parut savoir parfaitement comment je devais la monter. Loin d’être blessée par cette chose, Lisette