Page:The Power of lust (extract A night in a moorish harem), 1991.djvu/94

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sembla en apprécier tous les mouvements, depuis le moment où je l’introduisis en elle jusqu’à ce qu’elle s’effondre en poussant un profond soupir.

Après un moment, elle était prête à me rendre la pareille. Quand elle l’eut ajusté, je sentis cette chose chaude entrer légèrement en moi en me procurant une sensation pas désagréable. Puis elle poussa de toutes ses forces et déchira ma virginité. Cela me fit souffrir si cruellement que je la repoussai et fondis en larmes pendant que le sang coulait de ma plaie le long de mes cuisses. J’étais terriblement en rage contre Lisette, mais finalement je lui pardonnai quand elle me dit que mon frère avait pris sa virginité un jour qu’elle m’avait rendu visite.

Lisette et moi nous sommes mariées peu de temps après avoir quitté l’école, elle à un gentilhomme de la campagne et moi à un officier. Lisette n’était pas mariée depuis longtemps quand j’eus de bonnes raisons de supposer que sa liaison avec mon frère continuait. Je lui écrivis en faisant allusion à mes soupçons et en la priant de me rendre visite afin de la persuader de mettre un terme à une relation si dangereuse, à la fois pour elle et pour mon frère.

Elle répondit en disant qu’elle ne pouvait pas me rendre visite maintenant, mais qu’elle serait heureuse que j’accepte de recevoir sa sœur célibataire, ajoutant que c’était une fille timide et réservée et qu’une visite à Paris lui ferait du bien. Sa sœur Amie vint donc en temps voulu et je l’accueillis chaleureusement, bien que je ne l’aie jamais vue auparavant.

C’était une belle fille, mais d’apparence très masculine, bien qu’elle parût très réservée. Ses traits étaient agréables mais plutôt marqués, et bien qu’elle soit assez grande et large d’épaules, elle avait une petite poitrine et des cuisses fines. Elle portait les cheveux très courts, même par rapport à la mode du moment chez les jeunes filles. Mon mari était à ce moment-là au loin avec son régiment, et je pensais que ce serait gentil de permettre à Amie de dormir avec moi.

Quand nous nous allâmes nous coucher, elle sembla très embarrassée à