Page:The Power of lust (extract A night in a moorish harem), 1991.djvu/98

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Je répondis par des baisers. Puis il monta sur moi et bientôt je sentis sa verge entrer en moi. Elle était plus grosse que ce à quoi j’étais habituée, mais très douce. C’était un morceau de choix pour les lèvres gloutonnes qu’elle franchissait et qui se refermèrent sur elle avec le plus vif appétit. Le ventre d’Adolphe se pressa contre le mien, jusqu’à ce que nos poils se confondent en une seule toison et que chaque muqueuse de mon fourreau caresse son membre. Avant qu’il puisse donner une autre poussée, je fus envahie par le plaisir.

Adolphe n’avait pas encore atteint l’orgasme. Il donna deux ou trois poussées paresseuses pendant que mon plaisir se calmait.

« Je rêvais de Renée, dit-il, quand je me suis réveillé. »

De toute ma force, je le repoussai jalousement comme Lisette l’aurait fait si elle avait été à ma place. Puis je lui tournai le dos. Il réalisa alors quelle confession stupide il m’avait faite.

« Ma douce Lisette, dit-il, je me soucie comme d’une guigne de Renée ; elle n’est pas la moitié aussi jolie que toi ».

Je haussai obstinément les épaules. Je jouais le rôle de Lisette et elle ne se serait pas calmée. Il se blottit contre mon dos et me prit dans ses bras. Je pouvais sentir sa tige raide se presser contre mes fesses. Il serra mes cuisses et caressa mes seins en m’embrassant la nuque, mais je ne me retournai pas.

Son désir était tellement excité par son étreinte inachevée qu’il me communiqua enfin son excitation. J’étais maintenant prête pour un nouvel assaut, alors je tournai la tête et l’embrassai. Il m’a rapidement retournée sur le dos et monta violemment à la charge. Une succession rapide de plongées réveilla à nouveau la sensibilité de mon fourreau.

Ma bouche se perdait dans sa moustache et nos baisers se succédaient rapidement. La chaleur du frottement devint de plus en plus intense, s’étendant en ondes électriques de notre point de contact à tout mon corps, et le plaisir coupable culmina en un frisson de jouissance. Adolphe jouit en même temps et me paya