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Page:The Power of lust (extract A night in a moorish harem), 1991.djvu/97

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coulait à flots. J’aimais bavarder avec un homme agréable comme Adolphe, d’autant plus qu’il était bien en chair et joyeux. Cela me changeait agréablement de la présence continuelle de mon mari, qui était mince et sérieux.

Lisette et moi continuâmes de parler après le départ de nos maris. En achevant une autre bouteille de vin qu’ils avaient laissé ouverte, nous sommes passées aux confidences. Nous avons fini par nous déshabiller près du poêle et monter à l’étage avec nos vêtements à la main. Debout et en chemise, nous comparions nos formes : comme par le passé, elles étaient très semblables. Nos poitrines s’écrasèrent l’une contre l’autre et nous joignîmes nos petites bouches du bas.

« Pourquoi restons-nous là, dis-je, alors que nous pourrions aller nous coucher et faire tout ce que nous voulons ?

— Suppose, dit-elle, que nous nous trompions en retournant à nos chambres et que nous échangions nos maris ? ».

Je regardai Lisette pour voir si elle avait deviné mes propres pensées adultères et si elle était vraiment sérieuse. Elle sourit et hocha la tête ; moi aussi. Le vin et le désir se combinèrent pour nous amener à cette folie. Il fut convenu qu’elle prendrait mes vêtements et que je prendrais les siens avec moi, au cas où il serait nécessaire de s’enfuir en vitesse vers nos propres chambres. Quand elle posa la main sur la poignée de la porte menant à la chambre de mon mari, je ressentis une pointe de jalousie, mais je la laissai passer et j’entrai dans la chambre d’Adolphe.

Il dormait tranquillement. Je posai les vêtements de Lisette sur une chaise et me mis au lit avec lui. J’attendis quelques instants que les violents battements de mon cœur se calment, puis me blottissant contre lui, je le serrai dans ses bras. Je repoussai sa moustache et l’embrassai sur les lèvres. Il ne se réveillait toujours pas. Puis je remontai sa chemise pour sentir ses puissantes cuisses et je jouai avec ses organes génitaux. Son sexe grandit sous ma main, et il se réveilla en m’entourant de ses bras. Je lui rendis ses baisers et ses caresses.

« Eh, Lisette, dit-il, comme tu es bonne ce soir ».