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24 THE FLOWERING OF THE

« On a trouvè le pauvre Batten étendu mort, ou mourant, dans un marais de mangroves — j’ai oublié lequel, » il reprit bientôt, « avec une de ces orchidées là, écrasées sous son corps. Il avait été souffrant pendant quelques jours avec une sorte de fièvre indigène, et je suppose qu’il s’est évanoui. Ces marais de mangrove sont très malsains. Chaque goutte de sang, disent-ils, lui avait été enlevé par les sangsues de la jungle. C’est peut-être chercher à obtenir cette plante même qui lui a coûté la vie.

« Je n’en pense pas plus de bien pour autant. »

« Les hommes doivent travailler même si les femmes pleurent » dit Wedderburn avec un profond sérieux.

« Quelle idée de mourir loin de tout confort dans un marais dégoûtant ! quelle idée de tomber malade de fièvre avec rien d'autre sous la main que de la chlorodyne et de la quinine – Si les hommes étaient livrés à eux-mêmes, ils vivraient de chlorodyne et de quinine – et personne autour que ces horribles indigènes ! Ils disent que les insulaires d'Andaman sont des misérables des plus dégoûtants — et, de toute façon, ils peuvent à peine faire de bons infirmiers,

« They found poor Batten lying dead, or dying, in a mangrove swamp — I forget which, » he began again presently, « with one of these very orchids crushed up under his body. He had been unwell for some days with some kind of native fever, and I suppose he fainted. These mangrove swamps are very unwholesome. Every drop of blood, they say, was taken out of him by the jungle-leeches. It may be that very plant that cost him his life to obtain. »

« I think none the better of it for that. »

« Men must work though women may weep, » said Wedderburn with profound gravity.

"Fancy dying away from every comfort in a nasty swamp ! Fancy being ill of fever with nothing to take but chlorodyne and quinine—if men were left to themselves they would live on chlorodyne and quinine— and no one round you but horrible natives ! They say the Andaman islanders are most disgusting wretches — and, anyhow, they can scarcely make good nurses,