Page:TheatreLatin1.djvu/108

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

LES CAPTIFS, ACTE V', SCENE ll. gg

   reconnaissance, et je suis pret à vous accorder cette

_ _ demande et toute outre quil vous plaira de me SCENE IJBENHERE. î'i1lI`B·'l\l€llSIl’ililt3Z pas vous fâcher si dans mn co· ere, _|72ll maltraité cet esclave. HÉGION, PHILOPOLEME, PHILOCRATE; 1’/zilocmte. Que lni avez-vous fait? · STALAGME. · Des quràfui découvert qu’il mïivailgtrompé, , , _ e ai alt eter ons es carre es 1 f * ` . Ileg. (à P/nlopoleme). Oh! mou fils! Que de `l · J I I ·’ ciers lim pieds . ., . . r . r . P/zzlocratc. Malheureux que je suis! C est pour grueesj ai a rendre a Jupiter et o tous les Dieux! moi que ce bmw homme 3 été En . I t .t, . r . . , i ` l i .. ils t’0nt rendu a ton pere; ils ont termine tous les Hé En Comidérafon do cette eîlrena sa 0 tourments que _]’Bl soufferts prive de toi; (montrant g mi) mus "° St . ._ , Y . donnerez pas un sou pour sa rancou zje vous le alagmehlsont mis ce coquin en notre pouvoir; rends mwitemmt eummwz le ·O rl .d . , . n · ils nous ont donne dans Philocrate un homme la hbeâé ’ P U ul Omer d`l1onneur et de parole. Maintenant plus de tris- . ' ,. ., . . . P/tzlocmic. P ll l ’ -' l tesse, plus dmquietude, ni delarmes,_]’en ai assez - - ai PO ux cest agir nob mmm' répandu Mois, je vous prie, envoyez-le chercher au plus ’- . , . vite. Phi. Vous nfavez deja fait sur le port le recit de , . . . Il . ’i . ,» . `1 ‘ - ' · vos douleurs. 0ubhez·les et sougeons au present. aut gg?/xs ilsmnlîf îppdaîwl Oitôtîs lïus ’ wus , . , . — - . . *. i n . i · . - Pltzlocrate. Eh bien llegiou? vous a1—je tenu da1_?°Alâ;Lî2))îI,; lnêllp ;]T'_î"_ °gBr°À"°r tu"` parole? Vous ai-je ramené votre fils eu liberté? Que la màëon IB Vim`? .âî;_n5Tm_ îiogggdîgd qîll Sg È dois·je esperer de vous? I I . P Il . · . . , ~l · I j ~ I Heg. Plulocrute, jamais ma reconnaissance ne $21];; gsfoînêgg îîlîlœfîiîoggïlâïlâîîb (îlîîdulî pourra müxcquitter des services que vous venez de , q ” q l mmm à mon ms et à moi lenleva tout cnfunt. En attendant allez vous met- P/tilopolèmle. Vous le pouvez, mon père, ct jc le Uïîglëjîgpémp qmwz mm ur ic. P 1.] t · · · . ., .. . ‘ - 1 l pourrai aussi. Les Dieux nous donneront le moyen P, ,l imm Je V us Suis p' ’ 1 ogm e' de récompenser une personne à qui nous avons tant U 0 ' 0 ' d’ohligation.En effet, il est en votre pouvoir de SCÈNE Il vous acquitter envers lui. ` Hég. quoi bou tout de paroles? Je nc vous I1ÉGION” STALAGDIEI refuserzu rien de ce que vous me demanderez. n x • 1 1 ‘ ¤ ¤ · Phzlocmte. lzh bien! Je vous demande de me I1'cg.Approehe, I homme de bien , mon joli petit rendre eet esclave que je vous ai laissé en otage, esclave imguon. et dont le zele a toujours sacrihe ses interets aux Sta. Que peut-on exiger de moi, lorsqu un homme miens... Que je puisse lui payer le prix de son de- tel que vous- respecte uussi peulla verité? Je n’ai vouement. jamais été n1 joli, m mignon, ni homme de bien, Hég. Vos services vous donnent droit à toute ma ni honnête d’uueune maniere : et je ne le deviendrai ~ Pro benefactîs ejus uti ei pretium possim reddere. ACTUS QUIN1 US‘ my, Quod benefecisti, referetur gratis, id quod postulats; Et id et aliud quod me orabis , inpe!rz1bl.s· atque te SCENÀ PRIMA- Muni subceusere , quod ego iratus ei feci niaie. 9:11 Ph'! . 'df 't'?H_.I l editm - macro, vuiroeoilsuus, ruirocruxrrs, srrixtsoivivs. 'é°§,Q“‘ ws ' ml n mm `M °°"p '1 °°“ . .. U j . . Ubi resuivi mihi data esse verbe. Philocr. Vœ misem mini: ginlonîelrgddgelibihb îïilîgâinïrlïînmi 915 ïeplàî mlîlilînîîggjl Liîârügpàxlgniâvgpîse ojîrumnàm Quomque ex miseriis plurimis me exemerunt, ° "x t .t Thu abducuo lëhu cr ïà" ' 28 H S: Quœ, adnuc te cerens dum heic fui, suhsteutulnum, '*;‘î'È‘§» 'uœsb humm ·m ui ? b- GPO » _€â:¤· Quomque hunc conspioio in potestute nostra, "°'î‘;;'**“' S q ’ E lu gas a"œm‘ B-7* ‘§àl?S‘lEî «lL“ï§r'S.‘È”ÃX.îÃ.ï É‘l"È..‘È2i"ïJl‘ÃlZlÃ` °2° W em M ~=*¤*¤m· meme M m•=e¤¤- · .~ '· · · · (PhilopolemoetPhiloc1·aii) E." lacwmls mllcm-au' Pmmpî êahs Jam wam · Vos itu intro : iuterihi ego ex hao status verherea velu 945 nas œrumuas, ad portum malu ques memorasli. E un mm mmm ui (1 sit mmm mio H°°§§“‘“‘“‘· ’°"”°"· QM “““°* ‘î“°’“"’“ “‘“'“ ‘“"""î vÃîîiu·Ãîéantu1n1.1>1»ad3p.s«quuie 1m,i>1]11»mi«« man- GH] . ' Tihique hunc redueem in liberlatem feci? Hey. Feeisti, ut tm' Pl"l°cT' Seqw"' ph_lübî,t f F _ [_ 925 SCENA SECUNDA. 1 ocra es, uunqusm re erre gra iam possnm sa xs, Proinde ut tu promeritus de me et ülio meo. Philop. Imo HEGlO’ STALAGMUS' potes, Hey. Age tu illuc procede, bone vir, lepîdum mancupium Peler, et poterie, et ego potem, et di eam poteslatem da- meum. hunt, Stat. Quid me oporlet faeere, u.bi tu talls vi: falsum auln- Ut bm-nelicium henemerenti nostro merito munetes; mas? Siem tu huic potes, pater ml, facere mcrito moxume. 930 Fuî ego bellus, lepidus, bonus vir nnnquam, neqnu frugi [leg. Quid opu‘st verbis? lmgun nulle ’st, qua uegem quid- bonœ, eso quid voges. Neque ero unquam : nœ tu spem ponas une bonœ trugi Iore. Philoc. Postulo abs le, ut mi illum reddas servom, quem Hey. Propemodum ubi 10ci fortunœ tuœfsint, facileiulellegis. neic reliquerem [Si eris verax , tuam rem facies ex male melîusculam. Piguus pro me, qui mihi melior, quum sibi, scmper fuit; Recto et vera loquere. Sed neque vera, neque recto adhuc S 1·i.wre. É