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Page:TheatreLatin1.djvu/114

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L`.—\ULUL AIRE, ACTE Il, SCENE Il. ·. 87 distribution des pauvres, et revenons le plutôt Eunolicoutez-moi, vous me ferez plaisir. possible. Meg. Je suis tout à vous; parlez, commandez, , · que voulez-vous?

     · Elmû. JB Vi€IlS \'0l1S dOIlIl81' lm COIlS8ll I`léC8SS3lI‘G

t ‘ ` à votre bien. SCENE PREMIERE Még. Ma sœur, vous êtes donc toujours la méme. EUNOLIIE i MEGADORE ZÉHOQJB FJÉSIIHIS poqr Vous .... · _ _ g. U01! ma sœur. EMC- J6 V011d1'¤lS hlüll V¤¤S P¤¤‘S¤¤d€1`« mon Euno. (Je qui peut faire à jamais votre bonheur, I i ' A ~ · · frcre, que mes paru es ne S0l'lt fl QM'? f]\1€ [M1? imm avec I’a|de des Dreux , une nombreuse famille , et ZBIB Bt VOH`8 Illllôfêt, HU(]\lBl_l€ SUIS (lCVOUé€ COIIIITIG pour cela jg veux vous ynapiel-_ doit l’être une sœur. Je le sais , nous autres femmes, Mg} Ah 5 je Suis mm-; tm nous trouve souvent importunes. Nous passons Eyna Qryy a-;.j]g• assez justement pour être très-baVzlrd6S Bt l`0l1 pfë- Méq. Il y a... que vous me fend ez la tête avec vos tend OH I'! IIJHIIIBIS YU d’B·f€mmC IDUEJÈB. NIEIIS, pfg]gt5_ Chacune dg vos paroles BS]; un coup de 1 müll f|‘Cl’C , SOITQBZ qllê _]6 Il 81 [385 au mûlldê de plus pierre qui m’éc;·agg_ proche parent que vous , et que vous n'en avez pas Emu; Allguga ghéigggz à votre Sœur, dc plus proche que moi. Il est naturel que nous nous Mgg, volontier; ’ si cel,] mi, plpifu IDÈEFESSIOUS l'\ll1 il l’Hl1ÉI'8, QUE IIOUS NOUS 3I(lI0llS E·gm,g_ C’g5(_ pgup vgtpg bjgyp de C0llS€llS I'éClf_)l‘0qLI8S. NOUS DE d8V()lÉlS avoir I‘l€Il ]|[ég_ , puupvu que ju mguyg ;1vgm|;d’ép0u$EI·; dercaché l’un pour l’autre; la timidité , la délianoe ou bien à condition que celle que vous voulez me doivent être banmes entre nous. Je ne Vous ai fait donner pour femme viendra demain , et partira sortir que pour vous parler d'une affaire qui vous après demain pour l’autre monde. Sur ce pied là, Eollûllè p€!`SOllllBllEl'ilCll€· I A · j’y (BODSBIIS; Bt VOUS pouvez [)l`Éplll'Cl‘ la IIGCB. Meg. Donnez mol votre mam , 0 la molllotlrü Euno. Je puis vous procurer, mou frère, une des femmes! _ grosse dot. La future est l’aînéo de la famille; c’est Em. Ou est-elle , cette femme parfaite? Quelle une femme de moyen âge. Si vous le permettez, est-elle? mon frère , je vais la demander pour vous. · Még. Vous. Még. Voulez-vous répondre à une question? Emw. Moi, dites-vous? Euno. Tout ce qu’il vous plaira. Még. Si vous vous en défendez, je ne vous c0n· Még. Après avoir passé Page mûr prendre une ti-edirai pas. ' _ ' ` I femme de la même maturité, qu’en résulte-t·il?,Si Emw. Dites la verite, mon frere, cela vaut mieux: le vieillard fait par hasard un enfant à la vieille, le il n`y a pas à choisir de femme accomplie, puis- nom est tout trouvé? C’est un posthume. Je veux, qu’elles sont toutes plus méchantes les unes que les ma sœur, vous épargner ce souci. Grâce à Dieu et autres. à mes pères, je suis assez riche: l‘éclat, les hon- Még. Je pense comme vous, et je ne veux pas, 1 neurs , la riche dot, un grand train, le pouvoir, de ma sœur, vous contredire là-dessus. brillants équipages , le luxe de la toilette, tout cela None , quo profectus sum , ibo; postidea domum Advorsari certum ’st de istac re unquam , soror. leo Me mtsum, quantum potero, tantum recipiam. Bam. Da mlhl operam, amabo. Meg. Tua’st; utere, Atque inperu, si quid vis. Eun.Id quod ln rem tuam ACTUS Optumum esse arbitror, te id admnnitum advento. Meg. Soror, more tuo facîs. Emu. Facta volo. Meg. Quid est id , SCENA PRIMA` Soror? Eun. Quad tlhisempltemum salutare Hb _ Sit, procteandis liberis, ita di fuxint, EUNOMM ‘ MEGADORUS Velo œ nxorem domum ducere. Meg, Hei ohcidi! mm. 'Vclim te athlttari me hœc ver-ba,1raœr, 120 ¥~whQ•£d î:~?;4«u· gu? mîhî œîsêro cwàeprppw qncuiiunt Mm gde] fuœqun rai hon causa U6 IC _ ,S F0 tlapl tt loquerle.- uu. e a. oc aœ, t m M gctmnnm sC,,·0œm_ Quod te gubet soror. Meg. S1 lubeal , faclam.·Enn. ln rem Iso ](;î;;eju`Ãmœii:riura1sa sum, nos odiosas haberl. HM law ’§¤- JM- Ut Wldëm çmvnnr, pmusnuam ducam. Nam multum Ioquacels merito omneis hahemur, 25 â¤;l8h;âîâth1:)î;;;3:::qÈ1r;i5¤;:r;:î& dgîxl = llllœ m t fecto re rtam ullam esse 1 r ` . ‘ _ , _ · âînclie iiiîiiinxhîulierempdllo ln seculo. Hrs legtbus quam dare vis, eeq-iq), r}uh:ms3d¢_ir1àa.œ U I Ver-um hoc, frater, unum tamen oogltato, Emi- Qüümàtlelulqe ltüëîèldltl É. 1'î_€1'! 3;*15 0 · 66 Tibi proxumnm me, mihique item esse le. d Sed 8St gmll lt; na u hm lâ es mu ien.; œ . U', wquom ’st , quod in rem esse ulrique arhltremur, EMD Sl Jllbëâ, em'. î_ IDE PU$0U|'î, posoüm. t d Et mini te, et tihi me oonsulere et mouette} _ U10 NW- gg? MD W5 ME l¤l¢\‘1°•>Sꤤ VL EM- lmo S1 qui VB. ·d h M · m um museau, · _ . . . E°.£,*;‘wL“l‘},2E L....?. .2.; lî.“f‘.lî°lE°.î... Et aaa. Ma. rest am. mm, qa. .....l..,... au,. .,,0..., En nunc ego secrete te huc foras scduxi, _ _ domum, I I _t f _t 0 Ut tuam rem ego tecum hein loquerer t'am2`wxcmU;bl W 3 îgmdîîqïgs alàlàïàïllîêsïgîmûîggàilênêxîîgrâ Pnsmmàsg ‘ ' ' . . C ' U • Meziîsnezmlm ’ Optima Emma ' mamm un a isa Nuno ego istum , soror, laborem demam , et dlminuam tlm. Es? nam optuma? Meg. Tu· Eva- Tlmê àîô? M¢9· 51 ¤€€¤¤ , êêâ vlzgî ïgïsê mg E1; “(;’âgâ";:); dgœ mm ”“‘· · ·_ m A Il S, Iiëgîrimoâiiiîua nulgcpïgsgîltilgilîrailigntaiixilm Clamoru, înperia, ebdrala vehiicuia , pallas, pnrpur-am, uu, · Pejor, (rater, est. Meg. Idem 860 ¤Fbll·\`0|'» MC lim Nu m°'"¤ (mm m œnmmm summum mmgunt um"