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Page:TheatreLatin1.djvu/206

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LE CUHCULION, ACTE IV, SCÈNE IV. iro

   Lyc, Je ne (IBVHIS [JRS 3j0\1t€l‘ foi Et tm Signe qui

`° rend authentiques les actes publics et privés? Je THÉBAPONTIGONE, LYCON. vous laisse. votre affaire a reussi à merveille : . . . . portez-vous bien, vaillant guerrier. T/ier. Om., je me sens en ce moment iaussi en- T},é,._ Que je me porte bien; uammé d8 °°l€"° que le J°“’ °“ Jassœëe et dc’ Lyc. Eh bien! soyez malade fonte votre vie, si trois une ville. D’ab0rd , S1 vous ne vous hatez de me wa vous plan rendre les trente minesque j’ai déposées chez vous, Thé,._ Que résoudre maintenant; que me Sert pF°p“r°Z’V°uS.°É nimum" , ,_ d’avoir suhiugué des rois, si un manant se moque Lyc. Et moi ]’a1 fort envie de vous rosser d 1m- ainsi de moi? portance , et de vous chasser comme un homme à . qui je ne dois rien. SCENE IV. Thér. Ne faites pas Pinsolent avec moi, et ne . . . X. T APONTI . vous attendez pas que je vienne vous prier. CAPPADO ’ HÉR GONE Lyc. Vous ne me forcerez jamais à rendre ce que Cap. (à part) Les dieux ne peuvent pas être irrités "ai dé’à rendu. Je ne vous donnerai rien. contre un homme à ui ils font du bien. A rès avoir à ·! . . ., .,, . . , I? . T her. Quand je vous aicouhe cette somme, j e- offert mon sacriiice , 11 ni est venu dans lesprit de tais bien sur que vous ne me rendriez jamais rien. ne pas laisser partir Ie banquier sans lui demander Lyc. Pourquoi me la demandez- vous donc main- Yargent. Il vaut mieux que ce soit moi qui le mange tenant? que lui. T/iér. J e veux savoir à qui VOUS l’avez rendue. Thér. Tavais chargé quclqu’un de vous saluer de Lyc. A un borgne, votre affranchi. ll :1 dit qu’il ma part. s’appellait Double-Main; et je lui ai remis l’argent Cap. Bonjour, Thérapontigone Platagidore : je sur une lettre marquée de votre cachet, qu’il m’a suis ravi de vous voir arrivé bien portant à Épidaure. présentée. Mais vous ne goûterez pas aujourdhui chez moi un Ihér. Unelettre! un affranchi borgne a moi! un grain de sel. Double-Main! ue si nilient ces rêves?Je n’ai as T/1éi‘.L’honnête invitation! ourtoi, si `e t’invite. j _ S P _ _ l _ d affranchi. ce sera pour ton malheur. Mais que fait chez toi la Lyc. Vous vous eonduisez mieux que la plupart jeune ûlle que j’ai achetée? des pillards vos pareils, qui ont des affranchis et qui Cap. Je I1’i`1iI‘iE‘1’1 chez moi qui vous appartienne. les abandonnent. N’a elez as des témoins car je ne vous dois rien. _ _ PP, P a .l Ther. Voyons : qu’avez-vous fait? Ther. Comment donc? Lyc. J’ai fait, pour vous servir, ce que vous Cap. Ce que j’ai promis,je l`ai fait. m’avez mande. J’ai traité comme votre messager Thér. Me rendras—tu ma jeune fille, coquin, oui celui qui me représentait votre cachet. ou non ? Je vais te passer mon épée au travers du Thér. Vous êtes un sot d’avoir ajouté foi à cette I corps. lettre. Cap. C'est moi qui vais te faire rosser comme il


SCENA ’]fEBT[A_ ` Ego aheo-: tibi res soluta ’st : bellaior, vnie. Tirer. Quid valearn? Lyc. At tu œgrota, si lubet, per me, THERAPONTIGONUS, LYCO. Th œtateq11quidpm[;(¤lÈ·i 7 uid mfmtt f _ l . e . . n · Hier. Non ego nunc rnediocri inccilo iratus iracundm , ïiigm 850 u C mam q me Ec SSC regl SM °‘*P*° “’*‘· que °*“*dl°¤€m f¤°"° °°“‘”‘¥*“î °PPîf“‘· ut miiriiibeoireat, si mc me mate umhralicus amsmir Nuno nisi tu mihi pmpcre properas dare jam mginta mi- SCENA UART nas A, Quas ee}: apnd te deposivi , vilam propera ponere. I Ly<‘· Nou , edëpül, mmc ego te mediocri macto infortunio , CAPPADOX, THhRAPON PICONUS. Scd eopse illo, quo mactare soleo, quoi nihil dehe0· 5*6 , _ ,‘ ,. ,, , . Thu. Neo te mihi facias teroccm, aut subplicnre eenseas d C“?’?;l3“°‘ "°’“““ d“ wm P’°P““- 9* ¤°“ °”° “’“;§§’ Ly’:' Ne ui IPB qmdem unquam snblgœ’ rcdduum ut N “ Postquam rem divinam feci, venit in mentem mihi, dam mm N t· ezit ’ l·t ab’ r’t ar entum ut etam· ~·=·M·1=·1=*m·- M- mm se M que “°*‘*““·“‘· ni .§l°,..a‘t,§î.ï’...‘i.‘3i”‘î.. .5;..; ud Ther ré; .... .;. credidî ’ · ’ ‘ tis? ’ . ’ S ` a a ‘ Te nihil esse redditurun Lyc. Cut nunc a me igitur 1:5; Capi?Themponügomplamgidom aiv8_ S [vos quon d Thai-. Scire volo quoi reddidistl. Lyc. Lusco Iiberto too; VCFIS , I ’ Is Summanum se vocari dixitnsi: treqqidi, ·h_ la ]¤ Elsgfxümmi h€|C hmm Wild mc numlüâm *1* mâï — | 5 i . . 1 - ~ · · . . . Q"’ Ègîüiëbe las °b° wam mm er QMS tu ml gra"-, Bene voeu: verum vocale. res est, ut male sit tim.- _ Quos tu mihi loscos libertos? quos Summanos somnias?555 Sftd ëgèïqîtïlî mC\’¢U¤0¤|¤¤| ¤P¤ü IE? C"PP· Nlhll Nec mihi uidcm libertus ullu‘st. Lyc. Facis sapicntius _ m _ l 9 · _ _ Quam pags iammum,i1im·ias qui hsbentqeteus aeâerunt Ne lîlfwz ¤<<¤¤¤ wvldem üebw ¤¤=¤<1¤¤m- T""· ’ ’ · ·· _ n 5 ` ’ ` ONS . _ _ Thegrgëlii femm? Ly: Quod ma da H, em ml Pu Capp. Quod fui juratus, feci. Thar.I\eddm‘, au non, VII’- · · · · n rn. ginem, _

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