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LE SOLDAT FANFARON

PERSONNAGES. bouclier soit plus brillant que les rayons du soleil, Pmcovotinics (11, militaire. de Pleuside. quand le ciel est pur: lorsque Finstant de 1u’en ser- Aurornocuz , (2; parasite. L1:cmoN,jv¤¤¤ GSCWC- vir sera venu, qu’i1 éblouisse les yeux des ennemis S*‘Éà·È;’l*Eic§S°]“’° d" Py" A}î“I?:|f[Lîg:;E2,î°u?;î,î,?,îè au milieu dela bataille. (Prenant son épée.] Je veux | _ 1 I 5 - , . . . . . Pânilirrërouàne, vieillard. Un jeune esclave de Péri- OOÉSCICT, dcdommager cette chere épee de l’0ISl\’€[§ lluimcomsie, courüsanrh l>|P¤(0mè¤8· _ _ V qlll lil 1*011gB : £l8pUiS trop longtenips la malheureuse Pusvsrna. svn =1¤1¤¤î· CANON · ¤°¤ °““‘"‘°’· brûle de faire un hachis tl`e l’armée ennemie. Mais P^‘·E""“°" (ah “S°l"°‘ où est done Artotrogue? L"’ S°è“° "’ 2* É’°m°’ Ar!. Le voici ; près d’un guerrier courageux, chéri de la fortune, doutlataille est d’un roi , ou plutôt AHGUMENT d’un demi-dieu. Mars lui-même n`0serait comparer attribué à Pmscieu. ses exploits aux vôtres. Un militaire conduit à Éphèse une eourlisaue qu’il a Pyr. Et celui doncà qui j’ai sauvé la vie dans les enierée à Athenes. Palestrion, 11n esclave, veut porter la champs deg Gurgustidgnjgpg , ou Bgmbgmgçgliidg nouvelle de cet enlèvement à l’am2l11t·de la jeune fille, Climinglarjdysarchjde, peüpüls de Neptune , c0m_ qui était chargé d’1me mission :ma1s 1l est pris dans la mundait en personne! i r (1) ’ 'l` i . i * ’ 1 i ,· l!"·*"°’Sée• et l’Y’é au mé ’ta mtl! la t ‘“’g'nî°î; gîuîrclî A1’!. Il m’en souvient. Vous parlez sans doute de · `l u a l . , . EI’l‘è"’• ’ l“"‘“q 8 Sem mnôn "“ mu _ q cet homme a l armure d’0r, dont votre souflle n dis- separe les deux amants, afin de leur ménager le moyen de si É IN légion 0 mme le vant _h [ f _" se voir. Un gardien qui les épiait du haut d’un tout les 1 P c S C 9 L asse ES em ES W surprend ensemble ; mais lc sot se laisse persuader que 6 <ï¤~==r<1¢S Tûëïîlux- , c‘est une autre femme. Palestrion détermine aussi le 111111- Py?’- Cûiîl 11 est qu UDC brlgalellè. · laire à quitter sa maitresse , sur le motif que la femme Aït. Sans d0\1te ce IYGSE tien au prix de VOS autres d’un vieillard voisin veut l’ep0usor· Le militaire engage la expl0j(S____ (à part.) que vous lfavez Jamais faim Si jeune fille à s’en aller, après l’avoir comblée de présents 1 que1qu,un me trouve un lqommg plus menteur, plus • • · ’ . ’ -‘ ’ I I- . _ . . . \ · r mais bientot il est surpris dans la maison du vieil a d, et Temp], de wma glmre que ee]u1_13,J8 œnsens a être PU"’ comme “d“"è’°· son esclave, dussé-le ne manger que du fromage et

ACTE PREMIER "“"""“ "° M" - · Pyr. Où es-tu donc?

  • * Art. Me voici act quand d’un coup de poing VOUS

W SCENE P1îEMïEP~E ’ rompîtes le bras de cet dans les Indes? PYRG(}POLlNICE, ARTOTROGUE. P!/l`- Qvmment, 16 hmâ? Pyr. (a sa smte.) Ayez som que l’eclat de mon AN J M Voldu dm a cuisse- (11 Destructeur de r€mp31‘tS· —· (2) I\¤_¤8¤¤F d8 Pain ·· (5] ·l0¤· (1) ll est inutile de dire que ces noms comme ces cxplolu sont dp Leur. -(4) Remarquable par ses l0l\§l nil! . Pînventlon du héros. MILES GLOBIOSUS. ACTUS PPJMUS

  • ··‘°°··· SCENA PRIMA.

1>1\AM.\T1s PEIXSONJE. Pvncoronrnrces. miles. Pr.2Us1nrs,adolesccns. PYRGOPCILINICES, ABTOTROGUS. Anroïnouus , parasltns, Lumuo, puer. _ . . Pnrœsœnro, serv us. MlL]’HIDlPPA , ancilla. P!I’9· Culaœv Qt Splenqûr mm Slt CIUPFO Clûïlül’, PERIPLECTUMENES, nenex. Acnorunnurrum, mcrelrix. Qllïllll 50llS ïâdll CSSG Ullltl, QUOIIJ Slldum ’st, soient ; Scnnxnnus, servus. Pmrn, Ut, ubl USUS Venlal, C0l’ll.l’û couserla miillll Purnucomwnm. 1ner¤lrlx· Came, coquus. Oculornm prœstringat ucicm in acie boslibus. S¤€¤¤ Mt EPh¤¤°- Nam ego hanc machœram milii cousolnri volo, 6 ·-——— Ne lnmentetnr, neve animum despondcat; _ ARCUMENTUM gala seljam priîlem ïefiaênm eestitem, h üb . uu: misera ges 1 c ar um acere ex os us. 1 B 5 M B . . (UT QI I U m vmmu ) Sad ubmrtotrogus? Art. HCIC est : stat propler virum Pm$m^NI· Fortem atque fortlmatum, et forma regia; 1o %";“’"'*"R;*;î‘tFl£°”"’"n"’:°î “"""“:i « Tum bellatorem. Mars hand ausit dicere , I.ega(llouî:arcgre, cali>tu’si-`iiisrniii-l(i ne W NEQUG œllüîlmtare sans virlules ad tues. I H im mem mem dom d_““.“_ Pyrg, Quenme ego servavi in eampis (aurgustldonlis , juurn Arcesslt hcrum Athenls , et torar Ulll BOU`1l)0mHCh 1düS Cluninstaridysarcliidcs Cemlnls conmunem clamparlelem ln œrllbus, Etat inperaltot SUBIIDUS, Nepluni ¤eD0s7 lb Lime uzqwecconvenire ¤m=mtl|>¤¤· Ar!. Memlni , uempe illum dicisa cum armis aurais,

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‘.§‘°” ;:`S:£Éâ€sc11‘âïîàl5’ Quojus tu legiones difllavisti spirîtu ,

llcmquelnpellll miliiem ·»ai.u.iE..À L Quasi vmms [Dim ’ aut pamwinm œct0rmm’ . Omlmm mm conwbmm, mundo E, Pyrg. lslue qmdcm , edepol, mlnl es!. Art. Nllnl , Iiercle, Scnis vlctnl enpiat uxor nubern : hûc ‘lU1d*’m« UILP0 abeal, oral, donat multn : ipse in dmnc PHI! ut alia (llûümm ill QUE! I’l|.1l1(||.I&|’l’| fbûètig. M mm prclunsun , puma; pm mmelio lult. Perjuriorem hoc hominem si quls vlderil , Q