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LE CABLE , ACTE I, SCENE Il`. 94; Ple . I > ` ‘ , ACTE PREMIER- le 1...’;î,.È°“î.îà‘.î 5‘..îî.¥’“à??."la.À I.î“î.€‘î.’l2î scene PRE nine “°“S y ' q l\ ` . Z . . ' Dem. Le ciel vous t10D.D8 en bonne santé!

 VALET DE DÉM0yÈS_ Slïp. ?llCS·Ill0l, _]8 VOUS [)l'l6, êÈBS·VOUS IUMO

, _ _ ou eme le vous ui a l , 1 O dieux immortels , quel ouragan Neptune nous père; 1 q ppc ez mon mmc votre ·' i ! ' I ' · · . . îmîîlîi lêlîîtsuggîîafîâînî ES gcâûëlëert wu}: a Pœus. Certes , je suis dll sexe viril. 1 . - I . · . . là ln°S_m le wm mdâs il t 0 _°fn‘Èl al pas Dem. Cherchez donc un autre pere : car Je n’a- ' 1 1 · r - · , . . d 1 , dg _ _m au im wml ‘"`œ‘”· Tic vais qu’une fille qu11n’a ete enlevee en has âge, et ans 1.·lltmeue Eur1p1de(1), Car toutes les tuiles · » · · - _ _ , _ , Je n a1_1ama1s eu aucun enfant male. . de notre maison sont par te1·1·e,etled1lîce est perce New Eh Mm, les dieux vous en dom à jour de tous cotés : il n’y a plus que des fenêtres. mm ` g` , , Scép. Que ces mêmes dieuï vous conf d t sum 11. · · . · °“ **¤· ‘ L E quique Vous soyez , de venir avec vos contes détour- PLEUSIDlPPE,·rnoxs nomzviizs ne ou1ann1:(p¢=r· Begles gifs °°°"p€S‘ V _ Mmmggs muets); SCÉPABNION, DEMONÈSI mdsîuisé emeurez-vous, un et lautre, dans cette 1 1 . Pleus. (aux trois hommes de guerre.) Mes bro- Scép. De quoi vous mêlez-vous? venez-vous ves am1s, Je vous ai détournés de vos affaires, rôder ici de jour, dans le dessein d’y faire votre coup sans que votre complaisance m’ait profité en rien. de main la nuit? . Ce eoqmn de Laliranr n'eta1t plus au [J0l‘€·'M·81S _]·ï1| Plcus. Qu’u11 esclave ait amassé un gros pé- voulu navonr pomr a me reprocher ma ncgligence. cole (2), a la bonne heure; mais qu`i| se conduise Adieu , mesanns ; e est trop longtem psvous retemn donc comme il convient , q1z’il n’ose jamais prendre (,·lp7·es qu als sont 7'€ÉL7’C$.)’llIî1lS voici le temple de la parole devant son maître, et qu’il n’in'urie 3 , ,. . . . J Venus, ou Labrax m ava1t dit qu 1l ferait auJourd’l1u1 point un homme libre. un sacrifice. Si j’y entrais ¤ Srë l ’ · ’ - I l , I · i a , p. ] n) a qu un homme sans pudeur et sans SMP- JE f¤1'€11S Sügènlwt, je CTOIE, tlê <l€P€·><’·l)0|‘ honte qui vienne de gaieté de cœur, molester dans ’ ' nn peu plus cet ennpyeux mortier qui m a ete COIN- leur maison des gens qui ne lui doivent rien. mande par mon montre. · v u Dem. Tais—toi, Scéparnion. Vous, jeune homme, flags. Je née sais. quelle voix v1ent de se faire de quoi s’agit-il? en en re pres e mo1. Pleus. Premièrementde faire donner les étrivièrœ ' ' ' ' | « · *

 àlplà 1;, Sgâpprmoii. a ce pendard , qu1 parle avant son maitre. .·· Sé1·ieu·

· ‘ * a 8 le- sement si cela ne vous ^ ' ` " ' ’ , ` _ _ _ , geuzut pomt, jamais une ?Cf"· (éelqul giga hlm Püyë- I D question à vous faire. ce . u en .n ez-vous ar ees a . ' S_ P 1, ’ pp proes que_]e 1115 votre CSC 3\8 , 11 €SlZ·CC })EIS. (1) Mon père est une npnstrnphe I1ono1·Iliq11e, qu’il etait dusage ' · 1- qu’unjcune homme adressant un vieillard. Pm"' ll faudra beaucoup de mçrneîn the lasse (11) Un maître nuènagcalt son esclave, quand celui-ci avait amasse })0IIl'£ (lG folllller la lÈCI'I'€. J6 VOIS bien QU Il SBPII ::1 grps pécule, parce quil espérait que cet esclave lui payerait · · . · · il entltunu ran 0n.Un tcl ' , 1 d l'i11 ' ' . ¤*=¤€SS¤**¤ dé m·¤<3¤*¤f_*¤¤*¤ ma ·¤¤1¤¤¤. wi Pl e 1,.... ,...1..1..î, aa. .1·£?.îJI§·î. ”ëà.· °·.....ïEKl"î.‘l$ê 'I.‘îî° T. est plLlS PCPCCC (ill llll C·l‘I.l)l8. monde, même cn presence de son maitre; c‘est ce que blâme Pleu- 111 . (1 ) lforagc gronde pendant Penlaniemtnt <i’Alcmèn¤· (A. F.)` SI Fâîlc lis huud ÃIICIBTIIEIIÉE7`, etc., et non aut qui , etc.

 PR[]\,]US Plans. Prope me liinc nesoio quis Ioquitur Dœm Heus

L . · · ` Sccparnio! ¤ Sccp, Qui nominal me? Dœm. Qui pro le araentum (ledit. SCLNÀ PRIMA' l Soap. Quasi me tuum essc servom dicas , Dœnîones? SCEPARNICL Dœm. Lnto usu'st mullo, multam terram confode; wo . . , Villam inlennndam intctlego totam mihi · P l 1 l i [ · ” ' ..î,î,îJ..â`3.‘î§1.ï‘l°.î;.·î“î.‘à‘î;"iî.2;§’€ ;‘,‘J§i‘C.îî‘.“.î!" · §‘,î,§fj_,““,§‘f,1’°"“j’?‘ ····,;··=~ °~m;¤~· ·=~*·~r~ Delexit ventus villam : quid verbis opu’st? ns SM Lîüuî; Im" al?] Tiny`? ÉU` à‘m°S sm' Non ventus fuit; verum Alcumena Euripîdi , ' ., · u nm "H. Hmm LS' qm ' l“m.'m”m Ita omncis de tecto deturbavit tegulas : v°°î_è¤îlE"8‘ V" Sum °q“'d°m' Dœ"" Quœœ “" P°""° Pa ` 1 1 5 1 11 · · . . · M nhmr Om fm £’ fmesuasqm 1 didn Fslmlam ego unam habui, eam unam perdidi. · 1 Virile secus nunquam tllluxu habui. Pluus. Al di dabunt. SCENA ShCLNDA' Écep. Tihi quidem, hcrulo, quisquis cs, magnum malum, I SCE ui oratione hcic nos obcupatos obcupes. ITLEUS mppUS’ D"£M0NES' PAB`mO‘ Pleua. Isteiccme vos habitalis? Scvp. Quid tu id quem- Plcus. lst vos a vostris abduxi nrgotiis, ms? I W NVQUE nl l)[0C95$Il· 11¤8 VDS üuxi gtàlia, 90 A11 quo furatum mmc venias, vnsligas Inca? NUQUE •1¤W\ ]¤f10¤€¤1 M Dümlm [1l‘€f1¤¤€l¢l'¤· Plans. Peeuliosum eum ease decel servnm et pmlium , sed mm dcsldm ëlfllm dfscœfü mil"'} Quem hero primcnte przetereat oralio; E0 V09, amld. delmul diuüus. Aut qui inclemenlcr dicat homini lihero. N¤¤¢ NIC ail V€¤€l‘lS l`¤¤\1¤l V€¤ï0 \'îS€f€, Scep. lit ixmudlcum et inpudnnlem hominem nddcoet, IIE UM WW} dlV}¤¤F¤ S8 f¤¢¤1l‘\|m <U1¤l‘¤î· _ D5 Molestum ullro advenire ad nlicnnzu domum, 5;-ep. SI sapiam, hoc, quod me macllli, noncinnem Inlum. Quoi debealur nihil. Dœm. Tacc, Soepamio. return. N