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Page:TheatreLatin1.djvu/274

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LE CABLE, ACTE ll, SCÈNE lli. 217 ` SCENE lll. hommes? Labrax n’a fait que ce que les gens de son s métier ont coutume de faire. AMPl:.LiSQUE, l`PtAKHAl.l0N· Tm/s. Quoi ! vous ne célébrez pas ici un sacritiee, y Amp. (ouvmnt laporta du temple o la prelressc.) et mm, maître west pas de la fèœ g J entends : vous me dites de heurter a cette maison _4mp_ Tu te msquss de m0,_ iioisine du temple de Vénus , et d’y demander de Tme Que fm,,,, d,,,,,, ,0,; l edu- _ _ _ , Amp. Hélas! Palestrnetmoi,1·éduitesàl`extré1nité, /gra/1:. guelle sont `V:e(nSî|î d Gllllüudlîüï; nous avons tronvéasile chez la prêtresse de Vénus. mp. sui par e IC]; ' 18 . que V0lS·_]€· 1\ous voyant isolees , dcstituees de toutes choses , Tm/c. I>st·ce Ampelisque qui sort du temple? elle nous a secourues. Par quelles peines , par Amp. Est·ce Trakhnlion, le nomenclateur (1) de quels périls nous Mons passé! Pleusidippeë ’ Tm/v. Ah! parlez, je vous prie, Paiestre, ln Tmls. Qh ! c est elle. 4 _ tendre amie de mon maître, est donc là-dedans? Amp. Cest lui. Eh! bonjour, Truklialion, A,,,p_ Oui. Tm};. Bonjour, Ampellsqtlè. Que ûîlîëîîl/0118 fm? Tmk, Dngréuble nouvelle! mais dites-moi, mu _4;np_ Co quejcrne mc1‘1t3lS pûlilt de fîllfë E l û[J· chère Ampélîsque, quel est donc le péril que VOUS prentissage du mzulieur. avez couru l’une et lautre? ` . li i i ` * · · Im]; Ampé sque, po nt de Pî|l`0l€$-5 ul5i1j€'§lr Amp. Mon pauvre frakhaliou, nous avons fait AMP- 'l`0¤t€ P€1'S0l1¤€ S¤}S‘¢_ don av?"' la wm'? il naufrage la nuit passée. ig bouche , et ne la point (iCgUlS€T· MMS, le TB PUB, Tm];. Comment? un naufrage! Quelle fable ine ou est Pleusidippe ton maitre? \ contez-vous là? Ivo];. Comme S’1lu`élHl’€ [NIS iürd§d¤[1Sl U Amp, Est-ce que personne ne vous 21 encore infor- 4mp. Pilt Pollux! 0|1 ¤ ît W- 101 111 lm » ¤l mêmü mes, n1 ton maître ni toi, du perfide tour que La- ombre de lui. lirax :1 voulu nous jouer; comme il nous avait clan- Tmk, ll nîy e5tp;1s’venu? destinement embarquées pour la Sicile; comme il A:np.Tu dis la verite. avait 111is tout son argent, tous ses effets sur un Tm/2. Ce n’est p0u1'¤\11l$ Pas m0¤ habitude- MMS vaisseau? lili bîeu,Trakl1alion , tout cela est perdu. voyons , le dîner est—1l prêt?. Wok. Honneur, hommage te soit rendu , 6 Amp. Q\19ldlD9l'1]€t€ l}1‘1€?_ Neptune! le plus arlroit escamotcur n’a jamais / Tm};. Le dîner qui doit suivre le sacrztice que mieux opéré : avec quel à propos tu as jeté Pappât! vous faites dans le temple. tu as abîmé ce maudit parjure! Mais où est-il à pré- Amp. Rêves-tu? A _ _ sent, cet infâme Labax? Tm];. Certes, Labrax,vot1·e maitre, a prie le mieu Ajnps I] sem , je pensa , mort en ],,_,,·,,m; cm., de venir diner ici. _ _ _ cette nuit. Neptune Fa invité à ses grandes rasudes. Amp. La belle merveille si Plwsldippê 3 ëîe Tm]:. J 'entends; il l’a fait boire dans la coupe trompé par UB Scëlêïëï qui SC JOUE des dieux El- des de 11écessité(t). O combien je vous aime, mon A.mpe·· (1) Ucscluve culutor, ou nomenclator, étain celui qui imcnmpn. I · gnait son inattre, et qui lui nommait Its 1>€l‘80¤HES Cllll le Sa- (ll Par ld wllpvde ildvvlsllc. Il faut entendre celle qu'on Muni; 1ug\g·n[ par gun nom , ann que son maitre pû! il Sun mur ln IIÃNEF h01I‘¤ aux ¢o¤dainncx.—Crrttc opinion d’Andrluux est conti-aim y par ls ls,,,,' evite des nouveaux traducteurs. Suivant eux, la coupe de necuma SCENA TER']:" A_ ’ Track. Cette huc Labrax Pleusidippum ad pruiidium voca- vit AMPELISQ , TRÀCHALIQ [ neriàipxisneum , herus vosler. Amp. Pol, hand mtranda fact; ‘ _ In - | ng yuxmuâsl, villum Veneris fano Si deos €l€0€P\î· ûî l\0u1If\GS , lüïlftûllm- more [cell, 5.;; Écffure Img: Ãîqnâeqaquaïn ,,,1,;,,,,, rmh, Qunja sa uu- Tmch. Non rem divmam taeitis hun vos, naga, hem? Ida 3;]| Amp. Hnriolurc. V X mm, nd;-oluit? Amp. obsccrn, quis heic loquilur? 7'~¤h· Quid tu üëls hm îsiluf? Amp. Ex maiis mu[t15' D uem evo video? “"““‘l“° *“mm°• T,,,;,, mtiîe Ampelisca hamqum fows e Inno egrediîur? C¤1>|h1¤¤ ex 1¤¤u¤¤¤|¤·<>¤·ba= auxilique opumqug hu; ,4 Estrie hic 'l`t'u¤hHli0, quom C0nSpî¤01‘, Culalur Pleusi- Recepit nd se Veneriu htfu sacnttdus, nie et Pa}œ5i;·;,m_ "fùppî, nm., An hein Palœstrn ’st, obsecro. heri mei amica ? 4m,,, -".,,c;,_ Fa est, Amp. ls est. Trachaiio, salve. Tmch. Salve, Certo. _ aw Ampgligœ. 335 Truvh. lnrst lepos in nuncio tuo magnug, mu AmPsj;m_ um agis tu? Amp. Ellilkm hàlld mala-mille. Track. Me- Sell istuc periculum perluliet quot! fuerit vom; Scim Q nus omînuw I _ Amp. C¤nfracta'st,:1llTl"€iCh3liO, httc’n0cI.e nnvis noble. V ,,,,,,,_ ve,-am omncis sapienteis decel. conlerre et fabulari. Tracli. Qu¤<|.uw·1¤· que mmc tnbum st? Amp, Nm, 8,,,,,, 5m piousidippus UNIS herus ubi , amabo, est? Truch. Eîa vistuamaho, _ wm · Quo punto leno clanculum nos hinc nuferre voluit 0,,,,; ..51. nu mms! Amp- N·¢<1¤¤`· 1»<>l· =¤*· ¤€¤¤¤* ¤"•¤ "‘Sl°"‘°"‘• ""‘“"'”'""l °"("" f"“· É" “‘"°“‘ l"P°’l — qumvm mm venin I Ea nunc perjeruut 0mul=l· îfwcfn Oh. Neptunelepi aps 1-,,.c;, Non venit? Amp. Vera prmdicas. Tmch. Nou est , Necte nlealor ullus est s·¤p1ent1or;pi·otmu · aw mécum ‘ Àmpe“sc,,_ sw minis iepidelecisti bolum, periurum perdidi sed (wam mos wctumvst prmdium? Amp, gm;.} pi-gmdium, l 5gd nunc ulii est leno Labrax'} Amp. P Hina I mqc `obsecrn te? , I nm" b M ' di ‘ mf ·it` I1·ic· Amp. Quid wmnms Neptuuuë m¤°¤îS iwwllë imc n T""‘:;‘a1;îT?W Nm um M B L ’ l Truck. Credcî, herclo, nnaiiœgçâ