270 P[.AU'1`E. ‘ de mieux È faire que 1l`aller promptement dans lestra. Nous avons au logis des agneaux et des oo- quelque coin du grenier, passer un nœud coulant chons destinés à ce pieux usage. Hola, lié! babil- a mon cou , et m’y pendre?... Ne fût-cequc le temps lardes (1) éternelles , jusqu’à quand retiendrez-vous de perdre la memoire d’nn si cruel déplaisir! Trakhalion? A11 1 bon ; le voilà qui sort. SCÈ E V Trak.En qnelquelieu que soit mon maître Pleu- N · sidippe , je cours le chercher. Comptez que je vous DÉMONÈS nm;. 1¤m礕¤¤·1· _ __ _I _ · · · · - l O dieux nnmortels , y a-t·1l un homme plus for- fzg îppruëï ài! la muîtuàu qu?) ‘:î&°î_°u:`é , . . . 1 , 1 - tune que moi? Pouvais-je retrouver ma lille plus usmîr ic! lu ma pu ° ul q ° p ur , . . « ' 1. m1ra(·uleusemel1t? Cect ne prouve-t-1l pas que c`esl. Tm/I 0 , aux gens de bien , et d’une piété persévérante, que D, ' ii"! , , 1 , ml les immortels réservent leurs bienfaits? lls m'ont , UB'"' DE ul que Je ul uuuuu mu u qu mu` . . . . \ I . . rendu, de la mamere la plus imprcvue, ma chere ru¤u· III _ fille , que je n’espérais plus revoir ; je vais la marier T e · Oul_·I _ _ à un jeune homme de haute naissance, fils et pe· D""' Quel ul cuuuu Suu Pcluv ul que u°u”°m‘ tit-iils de citoyens d’Athènes (1), et de plus mon pa- mus P‘u'€"l·‘l·_ rent; je veux donc qu’on Paille prier promptement T':”k· ?’;"·d I _ de venir chez moi. .l’ai déjà recommandé à son va- D"": D ul? “Pê°u“‘t°‘· ]etTrz1khalion de le chercher dans la place. 6l 19 T'?]"' Ou", ,, , , . 1 6 , m’étonne qu`il ne soit pas encore sorti du logis. Sl Du”‘· Et fais qu Il Sou- lc! au P US t ts am! qv 0¤ j’allais lui renouveler 1’ordre?... Mais que v01S·]e I-u`éPu"° le WIP"- de la porte? Quoi! ma femme encore pendue au cou Tmu- OULI I _ I: de sa fille! Oh ! ees caresses ont assez du ré. Les fem- Dé'"- Qu':'} - tu m¤3·<¤19p1}<1r¤S w¤i¤¤§S Par des °m· mes ne savent comment tuer le temps. d Tl uk- UW- gilles; nl life pige il VOUS d€ma¥}· . er: savez·v0uS 1eJ1 ce que c es . e vous souven1t· SGEN E VL de Lustre ppomesse , qu’au_jourd’hui je serais libre. , em. lll. DEMONES, SA FEMME, personnage muet et Trak. Faites votre possible pour obtenir cela de qu'on ne voit peint; TRAKHALION. mon maître. Dém. Il est temps d’interrompre ces baisers, ma gem]; qu t m . .0 .t .. . femme, eme disposer mam choses pour le menace Pl "€'d. ‘ "° “’ ld ‘l;"<=~"‘" S"; l"'t‘É'°î“‘ ‘ ‘;’u`“· qu’à mon retour je ferai aux lares familiers (2) qui È]? luge? ml au encore P us ae meu ' ont daigné accroitre ma famille en me rendant Pa- em` m` , . . . Trait. Et quand _|e serai libre, qu on me donne H) C‘vst ce que slgniûc lngenuo Ahentenri; ear il ne faut point Ampéligque pour f8U"nB_ lclde virgule après fngenuo. Lc poete établit que Plnnsidlppeétait . . un noble etranger dans 1'miginc, et citoyen wnthenes dcpuis deux D€m· Om- géneruilons au moins. Chez les Romains: ingenuu: Sigmüàit u¤ Trak, Je vous demande cette bi€ttV€lll2l¤CB, Ht] homme libre d’un nombre de generations illimité au-dessus ao deux I. . . I générations. Le (ils du lils d’un affranchi pouvait déjà se quali· Dom _du buusen Ice que Je vous ar rcnuu · ner mgenuur. I DHL gnb (2) Ou dlcux domestiques. Plante , at son ordinaire , fait jouer en- semble , comme analogues , les mots famillarc: etfamilizx. (ll C9¤l $'¤¢m‘¤$¢ mx $•'¤|’V6¤W¤ de DÈm°M‘~*· Quid meliu’st, quam ut hiucinlro abeam , et me suspcndum Larihus familiaribns , quom uuxerunt ncsti-am familiam. clanculum? Suntdomi agni et porci sacres :sed quid istum remem- Saltem lnntisper, dum Absccdal. hmc a me cegrimonia. llîë Imini, h II t I Mu ie;-es, Trac alionem. a que op ume. eccum , exit foras. SCENA QUINTA. Trqch,. Ubi ubierit tamen jam investigabo et mecum ad DIHIXONESI te adducam simnl h I H05 · · . - — . · I. 1 . . I t .|` i · Pro cli mmoilaleis, quns me est forlunatior, È im dlpïm Fœîl Euïuïiï U; œctrïs du mi u" u.“ · Qui ex lnpmmo mmm invcm mem? umlrogqa , u re mq n s es, e mc vemat. nue}., Satin ‘sl quoi homini dei euse benelaetum volunt, mc ‘_ _ _ _ _ Aliquo illud pacte obtingit optatum piig? DEM- Dl•t1\0 t‘l¤|utumImeam 1ll1 ûham uxorem. Tm,_·],I ~ Ego bodie, qui neque speravl, neqne credidi, N80 Uœb ls inprovisn filiam inveni tamen : Dœm. Et pal rem elus me gnovisse; et mihi esse cougnulum. El cam de generc summo adulesccnli dubo Tmch. Licet. lnçteuuo. Mhenienài. Et 00¤g¤¤\0 M60- _ Dœm. Sed properu. Truc/¢· Licet· (hem. Jam heie the ;u_ Ego eum ndeo arcessi huc au me quam prumum volo , ‘ cœna ut curetur. Tmch. Licet. man Jussique exire hun ejus servom , ut ad forum H85 Ltœm. Omniau’ lioet? Trac/1. Licet, sed sciu’ quid est, qcm] Iret : nondum egressum asse eum, id miror tamen. tc role? Adwlüül Opîuvr ud l`0P€i$¢ Quid <¤0¤5Pl<¤>1'? Quod pmmisisti ut memiueris, hodie ut liber sim. Dœm, Uxor conplexu coilo retmct nliam : Liam, Nimh pwnv i¤~¤·v¢¤ ¤w¤¤ <>«1î<>S¤ des ¤m¤ti0 ’¤=t· rmen. ran ut emes rlensidippum, un me mam mam Dœm. Llcet. SCENA SEXT!" Tmc/z. El tua tilia faciio orel; facile exorabll. Dœm. Llcet. DEMONES, TBACHALl0· Teach. Atquc ut mini Ampelisca nubat, ubl ego sim liber- Dmm. Aliquandooscnlando meIiu‘st, uxonpausamtieri. Iivo Duzm. Licet. 520; nique ado1·11u,ut rem divinam faclam, quom Intro utlve- Track. Atque ut gratum mihl bcnelicium factis experiu. new. _ Dœm. Llcet.
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