S'1`lCliUS, ACTE V, SCÈNE V. gi; 5 jtic. (Jun 6lt}' (l)Pl0llî'l?LL·’E.) J’2u mal partout. Stic. Cc n`est que chez de misérables prostituées . . I i ’ · Sat; Partout' Je te p anis. qu on embrasse debout son amant. (ll veut attirer Step. (ntonlant sur le ttt de table.) De quel côté à lui Stéphanie. me plncornige? Sag. ( le prévenant et cmlmzssaut Slëphanîe.) Sa g. Du wlé que lu v0udx‘¤S. Courage! courage ! voilà comme on attrape les vo-
Step. Je vcux être entre vous deux , car Je vous ln-:urs.(Aumz4sicien.)Eh bien! cette coupe ne Fa pas
mme tous deux. fait tant dc mal,.. Allons! enfle tesjoues. Sttc. (nz part.) iiion pi-cule esta sec (1). (Yen est Stîc. (au musicien.) Voyons! quelque chose dc fa.t , ma ilicrtc s onfuu. tendre. Donne-nous pour notre un vieux un air Step. Faites-moi , je vous prie , une place pour nouveau. me coucher à table , si toutefois je suis aimée de Sag. (sc mettant à danser.) Est-il un lonien (1) vous : je désire recevoir les caresses de l’1m et de efféminé capable d’en faire autant? Si tu mc sur- Fautrc. passes dans cette pirouettc, je te délïc pour une Stiv. Je meurs d’amou1·. autre! Tiens, danse comme cela! Sag. (a Stzcfzus.) Que dis-tu? Stic. (dansant aussi.) Et toi comme cela! Stic. Que veux·tu que ie disc? Aug. (Ils dansent.) Tm ia la i Sag. Par le ciel qui mc protège! 116:11 118 pourra Slic. Tata! la dispenser de danser auj0u1·d’hui. (à .S`t‘épltanie.) Sag. La la! Allons , ma charmante, mon nectar, danse : je dan- Stic. Paix! serai avec toi. Sag. Maintenant, dansons tous deux la même Slic. (a Sagamtus.) Tu ne pamcndras pas a la danse.Jedéüemuslesmignons: nous males craignons soustraire ainsi à mon ardeur. pas plus que les champignons ue craigncntla pluie. Stép. S’il faut que Je danse , donnez donc si boire Rentmns maintenant. Nous avons assez dansé pour _ au joueur de flûte. Ie vin que nous avons bu. — Vous, spectateurs, Stic. Et a nous aussi. npplaudissez; et allez chez vous vous régaler à votre Sug. (versant à boire au musicien.) Tiens, joueur tour. de mlm, hqls lv pmïnœr E et des que tu auras vidé (rl Les danses ni’Inuic avaient un caractère voinplucux ct lnsc if. la Cullpü, fZ\1S~l10\1S bl8D VHC 8I1î8D(1I‘8 , SEIOD î.0I1 hu- Ses damcurs joulssalent, dans Fanliqnite, de la renommée des ar- bitudc,unair d0ux,tcndre, lascif, quinous chatouille "’“°‘ °° “°"° °*’°"· jusqu‘:1u bout des ongles. (A Stic.) Verse de Foam (2). î (JM |ïL’(lSi(.`i€7l·) TÃEDS, üV£\i€. TOUÈ à rh8UI'C 1],81] Un savant, homme de goût , M, Amaury Duval, contente l'uu· . , — ‘ · · thcnticilè de cette comédie, qu’ii juge indigne de Plante. En elfct , v0ul'l}tpnS' Il açceptc mmnœnqm; de fnelllaure grâce` \’ncLiox1,qui d’nbnrd promet un développement dramatique, sc perd (à SÉLCIZZLS.) TIERS, T01! (.4Ste]1hame.) AHODS, [)l‘U· cn dialogues communs et ditius. Le stylo est presque partout sans _ i ·i *·‘ .Lé L ·u. I x . C' L n f·ci'l'lé.1grèabi·, nnispr ilxe. qui neue d9 [DCS YBUX, donne nu) u“ bd Ser pendant Èssrîpiaîeîà giga f0:;c`-ëuegi-dant; pcëu. Aussi C1'l)y0(I;S-XIOUS _ (IU li bûlt. avec ie judicieux critique, que si Plnutu csl.1’aut2ur du Sllclnts, lc l1‘avai\d’un2 main étrangère se mêle, en beaucoup tfcudroits, à L1) |i le gépcmgra mm cnlicr pam- plnlrg A sa 1;c|]e_ Pœuvre de Plante. — Un habile traducteur, M. Levée, nacoammndé (2) cem; prenauiiun prouve que Sagarinnn craint que ne jmwm- ww nîècv à la scène francaise. Cute imitation n’u été ni repré- im time ne cèdc trop à la lcnœtion. ll parait quc la réputation des 5¤¤l·¢¤ · ¤î nrîw耷 musiciens dal: de loin. -— Nimioque sibîmuiier mcretrix rcpcril odium ocius Si hoc eduxcrîs, proinde, ul ccmsustus antelmc, celoriier Sua inmundiiia, quam in perpeluom ul placeal mundilia sua. Lopidarù- et suavem canlalionem aliquam obcipilo cinœdl- Say Nimium iepide fabulata ’st. Stich. Voncris meta ’st cum, 740 oratio. Ubi perpruriscamus usque ex unguicuiisz inde huc aquam. Sagarine! Sag. Quid est? Stick. Tolus dolco. Sag. Totus? (aa tiberium,) Tone tu hoc, eduœ. Dudum hand plncuit. tanto miscriur. . polio; Steph. Ulrubi adcumbo? Say. Ultubi tu vis? Steph. Cum Num: minus grnvaln jam adcipil. Telle lu 1 înizrim, amhobus win; nam ambus amo. 730 bleus oculus , da mihl suavium , dum illic hibit. Steph, Vapulnt peculium; actum ’st, fugit Imc Iiherta: ca.- Stick. Prostibiic ’st autom slnntcm stnnli savium wi put. Dare amicum amica:. Say. Euge euge, sic l`uri dalur ! Steph. Date mihi locum ubi adcumbam, amabo, siquidcm Quid igilur? quamquam gravalus, non nocuil tamen. pluceo : [um mihi Age jam infla buccas. Sticlt. Num; jam aiiquid suavilcr. Cupio cum uircque mihi asse bene. Stxbh. Dispcmof Say. Rcddc cnnlîonem vctcri pro vinci uovam. Quid ais? Stick. Quid , ego? Say. Qui Ionicus nul cinœdicus, qui hoc tale Inœrc poesie! ‘? Say. Ila medi ement, nunquam cnim het hodie , hœc quiu Si istoc me vorsu viceris, alio me provocatoz 75l saltcl, tamen. Fan tu hun modo. Stick. At tu hoc moua. Sag. Bahœ! Stick. Age, mulsa mea, sneviludo , salm : snilaboegn simu!. 73E» Talœ! Sug. Papas! Stich. Pax! Stich. Nunquam , edepol, me istoc vinces, quin ego ibi Say. Nunc pariter amho zomneis voco cinzndos. contra prurium. Satis esso nnbis non magis polis eèt , quam fungo imber. Steph. Siquidcm mihi sallandum ’sl , tum vos date, bihat , Intro hinc abenmus : mmc jam sallalum satis pro vinn ’sI. tibicîni. Vos, spectulores, plaudilc, atquc itu ad vos cumisatum. 'ius Stick. El quidem nohis. Say. Tenc , tibiœn, primum, pc- stidealoci ···~··