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4 3 PLA UTE. SCÈ NE HL .1.ib. Je sais calque de?. Vous Illlêll faites souve- nir. e crois ui ne tar era as. LE`. MARCHAÃND LIBAN /;, ‘ p · ' ai ' ·i 1 · Le Marc .4 Lomment est-il, votre Saurea. Dc- . . . . . . . . . ‘ ,| _ i ' i ' i 1 i · Le March. Voila bien la maison qui m’a ete indi- pclgllü È mo im Pell- ·l° V""] lllell S C est lu lllll , . . . . , * · | quee; il faut que ce soit la que demeure Dome- '“ all'"` “· _ _ _ nète; va, petit garcon , frappe à la porte; et si lg Lib. Les joues maigres, tant sont peu roux et , s 7 · · · · · ` I ' ' n il müitfû dil0ÈCl Saurea est au l0g|5,fais le·n10]venn· l’9lliIl'lq»·T€§ül‘d f8l‘0LlCh0, tail c ordinaire, 1 ig mp pat: u aire. Lib- Qlli CSV09 qui frappe si fort à notre porte? Le llhl7`Cll·· Ull P6|l1tI‘€ ne ferait pas mieux gnu Un moment,s’1lvousp|nit. Espce que vous ngm gn. Puïlfîllï Eètëuîl që etvpls lu mé ne qui vient. Il tendez pas? ulâfu IB cn ran an la e e, · ' ` . lil i i ’ ' - L€Md7'L'h. Qui il frappe? Personne encore, É|;c5· ` [-lil lllü CUP ·l I l aborde quand 1l est en co vous dans votre bon sens? lere; ille bat sans pitie. lia Pair menaçant ctfuricux, Lib. Je CI'0yHiS qllè \'ol1S aviez frappé , parce que cllllllllîf Ãülîlllë ¤ ILIBIS S il me touche dans son cour- _l€ VOUS voyais €1li€l' de ce côté ; je ne veux png qifnng TOUà , il SEM FOSSE. ‘ porte, ma Commcnsale , et qui appartient au même IV. maitre que moi, soit maltraitée :j’ai un tendre at- É I ` tachement pour notre maison. L OMDE, LE MARCHAND, LIBAN. Le Marc/1.. Parbleul votre porte ne risque pas Léon. Qu’est-ce que cela veut dire , que personne d’être brisée. Si vous commencez par arrêter ainsi dans la maison ne fasse cas des ordres queje donne? tous veux qui S'y présentent. J’ai expressément prescrit il Liban de venir mejoin· Lib. Notre porte est faite comme cela; elle crie dre chez le barbier; et ce drôle n’y est point venu. . •l'll"¤¤œ UPFCS lo pûfîlülï flu Plus lol" <l¤_'¤ll8 V0}! Il paraît qu’il ne prend guère plus de souci de ses quclqu’un venir lui donner des coups de pwd. Mais épaules que de ses jambes. quel dessein vous amène? Que cherchez-vous? Le March. Il a le verhu bien haut. Le March. Je cherchais Déménète. Lib, Malheur a moi aujourd’hui l Lib. Quand il sera au l0gis,je vous le dirai. Léon., ironiquement. .l’ai apparemment l’hon- Le March. Et son maître d’hôtel? nour de saluer Liban Paffranchi? Tu as été mis en Lib. ll n’y est pas davantage. liberté, à ce qu’i| me paraît? Le March. Où est-il donc? Lib. Pardon; je vous conjurv. Lib. ll a dit en sortant qu’il allait chez le barbier. Léon. Tu oses te présenter devant moi? Il t'en ar- Le March. Est-cc qu`il n’cn est pas revenu? ' rivera mal. Pourquoi n’es·tu pas venu chez le bar- Lîo Pas encore Quest-cc que vous lui vouliez? bier, comme je tc l’avais ordonné? Le March. Si Je l'eusse trouvé,jclui aurais compté Lib. Cet homme-ci m’a retenu. vingt mines d’argent. Léon. Quand tu mc dirais que tu as été retenu Lib. Dequelle part? et pour quelle raison? parlegrand Jupiter lui-même, et quand il viendrait Le Amro/z. Pour des anus qu’1l a vendus a un mar- demander ta grâce, tu néchapperais pas au châti- chand de Pella. ment. Misérable, tu as méprise mon ordre? SCÉNA TERTIA. · Mew:. Qula facie voster Saurea‘st?_si is est, jam scire potero. Lzb. Macilentis maiis, rufulus , alaquantum ventriosus, MERCATQR , ]__(]3A]vU5_ 'jtlruemlenus oquqs nopmmoda stzgura btarislijfropte. _ _ _ ere. 'ou po ui pic or rectius eseri ree us ormnm. gm, Uti demkqnâtrqtgn îluqjtmlliiî llasce ·’Bd€l5'9SS0 0p0l'|Cl, Atque , hernie, ipsum adeo coutuor, quasàuuli capite i¤C•!· amœne us 1 nc: ur a i rc. , puere, pol a. dit Auulfë ülîlëüâëm S?ll1l'üm«_$l l'-*l_llllllS» ¤vo¢«'·t<> lllll} _ Lib. Quisque obviam huic heic obccsserit iralo, vapulabit. Lilo QMS ¤¤¤ll'll¤ SW lfüllëlî l°l’€l5? Olllir llllilllüllr $1 Glllll îll1· Siquidem , hercle , Eacidinis minis animisque expletukiedit, ‘l'*· _ _ _ _ Si med iratus tetigcrit , iralus vapulabit. Marc. Nemo eliam tetigit; sanusne es. Lib. At œnscbum ad- usuw SCENA UARTA. Proplerea, lnuc quia liabehas lier : nolo ego Lforeisl cotiser- Q WS meu, _ _ _ _ LEONIDA, MERCATOR, LIBANUS. A te verbernrier : sane ego sum umicus noslris [aodibns]. Mcm Pol, hand poriclnm est, cardjnes ne [oribus eclringan- Laon. Qnirl hoc est negoti 7 neminem meum dlotum magni- Lur fanere. Si islocqexemplo Lu omnlhus, qui qumrunt, respondebls. Llbanum in tonslrlnam ut jusserum venire, is nullus venil. Lib· Ita lime m0rata’st jnuuu : cxteuiplo janitorem Nm ille , edepol , tergo et cruribus consuluit hand decurc. Ulamnt, procul si quent vidct ire ud sese cnlciironem. Marc. Nimis im periosu'sl.. Lib. Va: mihi hodie! Lcmz. Salvern Soul quid venis? quid quarrilas? Mem. hemarnetum vo]el>am· jussi Lib. 5i sit domi , dicam tibi. Marc. Quid? ojus atriensis? Llbanum liberlum ! jam manu emissus? Lib. Obsenrn le Lib. Niliilo mage intus est Marc. Ubiest? Lib. Ad tonsorem Leon. Nas tu, hcrcle, cum magno malo mihi obviam obses- ire dixit. sisti. Marc. tàuom xonàsset, post non rcdiit? Lib. Non edupcl : cur non vmlsu, ut jusseram, in tunstriuam? Lib. Hic mu qlll W) E (15 !li()l`ütLl'§lÈ· Illerc. Argrnti viginti mluas , si ndessot, adm-pisset. Leon. Siquidcm , herclc, nuuc summum Jovcm lc dicas de- Lib. Qui pro istuc? Illerc. Asinos vendidit Pcllazo mcercutorl tinuisse, Mcrcatu. Lib. Scie, tu id nuuc reicrs?jaui heic credo cum Alqnu is prucator mlsiet, malam rem «··ci`u;;ies uunquum. ' ¤d1'uturum._ Tu , verbero , lnpcrlum meum contempxiisli!