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44 PLAUTE. Lib. Vous pouvez le lui remettre également en tu ne prends mon parti contre ect homme; bats cet son absence; je me charge de tout; je vous en fais l insolent: je te l’o1·donne. bon, si notre vieillard savait que vous n'avez pas I Lib.', ou Marchand. Je suis perdu. Allons, ingri- eu confiance dans son maitre d hotel , il se mettrait lent scelerat , tu n’as pas le courage de me défendre! fort en colère; il s`en rapporte à lui pour toutes Léon. Tu continues à lui faire des prières, à ce ses affaires. l coquin? Léon, Qn'il me donne cet argent, ou qu’il ne év N<M'¢71· Quest-ce que c’est donc? Un esclave me le donne pas, a son aise; |a1sse·le là. a linsolence de dire des injures à un homme libre Lib. Donnez-lui cet argent, je vous prie; je tel (ille mm? tremble de frayeur! ll va croire que c’est moi qui 1-B0"- Tu WS même être battu. vous ai conseillé de ne pas le lui confier. Donnez; L6 M<Q'Ch· C'€5t bien tm um seras battu, aussi- ml cmllmez tlm,. il lp ll as le ,,,,,;,,,;,.8 ris ,,,,_ tilt que j aurai pu rejoindre ton maître Déménète. le 1 _ ` . , Le March. Il y en aura encore moins a le garder. Je W me dlîvûm l€_l¤86· . , · · . ' 9 Je suis etranger dans ce pays-c1. Je ne connais point ]~€°"· Je il Y Wifi P¤8· votre Sauréa. Lelllarclz. flu n y vas pas?Souvlens·toi de ce refus. Lib. Mais quand on vous le fait connaître? L6""- Je m fn 5°""'€¤d1‘¤l· _ Lcllmrchl Espœ lul? “«eSl_œ pas lul ? Je mm Sals Le March. W otre dos mc paycra vos lnsolences. rien. Cest lui .... si c’est lui, Ce que je gais bien l Leûnqvîl t@'Pl`0m€U€l‘· Tu nous menaces? lgmlg- c'est que je ne relncttrai cet argent qifà bonne U1 UOLIS intimider? l l · ellselgllh et qualldle Semi bleu Sûl. de mlm fait- l Le March. Etlvos indignes propos recevront un 4 ~ _ . il · Lamb Que tous les dlem le mllfomleml Lllmll juste châtimentldes aujourd iui. je vous défends de lui faire aucune instance, 11 est M30"- Que lllS·l¤ · grenier El coups de bâton EF . . . . . · ·» · 1 , bien insolent, parce qu’ll tleutmcs vingt mines; qu il pellddrd que lu BS - P°*l$€$·tl·l (IM ¤0¤S 3) Ons peur les garde. Allons, va-t’en d’icil retire-toi, te dis-je; de “°“É t*'°“"" cn PTCSEHÈC de ¤0'¢1‘8 maitre ? Al- lu mlêmlulesl lopis; viepslle chercher, puisque tu veux le voir : tn i i P Le Marc/z. Tout beau! Cette arrogance ne con- C Lî¤:;;_ïS is i°È':='î,t°É?€S· dé I . ·. A . · | ~‘··=¤* Pe =* un mlm- n-...... pi. cet ...".Zî" `É. .S.É.·..§’ "’ i§’!°"‘? ‘l“°‘“ _ , . . .| ' l j Lab., au Mzwclmnd. tous vous repentirez de lui g ,’. . que c mmm en . . . . , propre personne ne m alt dit de te le remettre. dire des injures : homme de neant et sans eduea- . F . , _ mm ne vo ez-vous pas qu,ll va Se fâcllcrl, Leon. .n ce cas-la, va-t en donc; marche, et laisse- j _ Y, _ T 1 _ _ d Q nous. Tu feras des nnpertinences aux autres, et il ne ‘ l s · . · ·

  1. (*-1 "L6°md€· “ ul mns Ffmma S Prop? sera pas permis de ten dire! Je suis un homme

qui tourneront contre nous. Mlserahle, mauvais aussl hlm que ml Büïllfmemi ne v0l$'w pas quil se mçt En Colère? L6 Mdïûh. Tout C8 que Ill V0\IdI‘iiStlj’3l pris mon Leon., au Marclmnd. Allons; va-t en donc. pm.ll_ · ‘ ' I ·, · « . L10- 61 L€¤¤· lmlüldëül <I¤€_ W €$·-·l AKM"' _ Leoa·.Va·t'en doncdece côte;passetonchemm.Je Chaud. D0¤¤81—l¤1 l ¤_i`g¤¤h J6 VOUS fg¤_ l>¤`l**· Sl puis dire sans vanité que personne n’a encore doute VGUS NE voulez DHS <ll1`¤lV0¤$ accable d l“l}ll‘€S· de ma probité, et qu’i| n’y a pas dans toute la ville Lg March,. Vous cherchez votre m¤l1V111Se ¤V€l1- d’ Athènes un homme en qui tout le monde ait plus ture tous les deux. de confiance , et à plus juste titre. Léon., à Liban. Je te ferai rompre les jambes , si Le March. Cela se peut; mais tu ne viendras pas à Lib. Da modo men periculo; rom salvam ego exhibeho : Ni istum inpndîcum percies. Lib. Periil1ercIelage,inpudice, Nam si sciat noster senex fldem non csse lluic habitam, Sceleste, non andes mihi scelesto subvenire? Subceuseat, quoi omniuin rcrum ipsus scinper credit. Leon. Pcrgiu’ precari pessumo7 Mere. Quaa res? tun‘ libero Leon. Non magni pendo; ne duit, si non volt : sic sine adstet. liomini Lib. Da, inquam : vahl formldo miser, ne hic me libl arbi· Male servos loquere? Leon. Vapula. Marc. Id quidem tibi, treiur hcrcle, liet, Snasisse , sibi ne crederes ; da, quœso , ac ne formida. Ut vapnles, Demœnelum simul ac conspcxero hodie. Salvom, hercle, erit. Mere. Credam fare, dum quidem ipse l¤'jus vooo te. Leon. Non eo. Mem. Non is? memento. Laon. in manu haben. Mcminî. Iwrejgrinus ego sum , Sauream non novi. Lib. At nosce sane. Mm:. Dabllur, pol, subplicium mîbi de tergo vostro. Leon. Mere. Sit, nou sit, non, edepol, solo: si is est, cum asse opor· I _Vœl te! tet. Tibi quidcm subplicium, csrnufex, de nobls detur? Mere. fêgocerte me lnoerto sclo hoc daluruin nemini homini. Alque et jam _ Lt-am, Hcrcle, istum di omneis perduinl. : verbo cave sub- Pro vostris dlclis maledictls pœnœ pendenlur mihi hodic. plicassis. Leon. Quid, verbero? aiu’ lu , 1'urcifcr : herum nosmet fugi- Ferox est, vîginti minas mvas lractare sese. tare censes? Nemo adcipit: aufer te domum : abscede liinc, molestus ne I nunc jam ad lierum , quo vocas jamdndum , quo volehas. sis. Mere. Nunc demum? tnmeu nunquam liinc [eres argenti Mm:. Nlmis lracunde. Non decet superhum esse hominem nuinmnm, nisl me servom. Dare jnsserit Demzrnetus. Laon. Ita facîto; age, ambnla ergo. Lib. Malo, hercle, jam magno tno mmc isti nec recto dicis. Tu oonlumellnm alteri fuelas, tibi non dicntur? lnpure, nlhili, non vides lrascl ? Leon. Perge porto. Tam ego homo sum , quam lu. Marc. Sciliool ita res est. Lib. Flagitium hominîs, du obsecro nrgentum huic, nc male Leon. Seqnere imc ergo. Ioqualur. Prmfiscioî hoc nunc dixerlm; nemo etiam me adcusavit Murs. Malum, herclc, vobis quœrllls. Leon. Crura, Iierclc, lllerito moa, nuque mc Allienis estalter hodie qulsqunm, dlsfriugcnlur, » Qnoîcredi rectearqno pulenl. Illcrc. Forlassislsed nie lumen