Page:Theuriet – Frida.djvu/107

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aussi, comme Calypso, je ne pouvais me consoler d’avoir perdu Frida et, insensiblement, tandis que M. Berloquin continuait d’un ton pompeux sa dictée, je revoyais en imagination « les beaux lieux » que j’avais parcourus avec ma petite amie : — le château constellé de givre, le rond-point des platanes avec la statue de la nymphe,