Page:Theuriet - Philomène, 1897.djvu/45

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Rovagny est vert comme un houx et ne veut pas mourir de sitôt. Je n’ai pas le temps d’attendre qu’il soit défunt ; le minerai est là qui presse et je veux un gendre qui se mette tout de suite dans l’affaire jusqu’au cou… Tu n’es pas mon homme !

— C’est votre dernier mot, monsieur Toinoz ?

— C’est mon dernier mot, Jacques Sonnerat.

— Eh bien ! qui vivra verra, répliqua le cocher avec son éternel sourire ; en attendant, je m’en vais déjeuner…

Pendant ce déjeuner servi par Philomène, que Sonnerat, en dépit de la défense du ciseleur, reluquait sournoise-