Page:Thibaudet – Trente ans de vie française – Volume II.djvu/98

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rante n’est plus que la paix du lac où comme de leurs racines idéales les montagnes se doublent de leur image renversée. Une fois de plus une pensée, une âme, une vie ont décrit une courbe gouvernée par les mêmes lois, régie par la même gravité terrestre que toutes les courbes humaines.