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Je ne craignais pas les « hen-harriers »[1], attendu que je n’entretenais pas de poulets, mais c’était les « men-harriers »[2] que je craignais.
J’avais des visiteurs plus consolants que les derniers. Enfants venus à la cueillette des baies, hommes du chemin de fer en promenade du dimanche matin sous une chemise propre, pêcheurs et chasseurs, poètes et philosophes ; en un mot, tous honnêtes pèlerins, qui s’en venaient dans les bois en quête de liberté, et laissaient pour de bon le village derrière eux, que j’étais prêt à saluer d’un « Soyez les bienvenus, Anglais ! soyez les bienvenus, Anglais »[3] attendu que j’avais été en relations avec cette race.