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Page:Tiercelin - Bretons de lettres, 1905.djvu/105

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Avis important : on s’abonne,
Sans jamais souffrir de refus
En payant cinq francs par personne[1] ;
Et par la poste un franc de plus.

Le numéro débute par des « souhaits de bonne année, » ou Rennes est moqué sous le nom de Castel-Gorin ; ou critique son Conseil municipal, ses gouttières, les pavés pointus de la ville.

La seconde pièce est intitulée Rennes. On décrit les « magasins de fraîches nouveautés, » de jouets ; on parle des librairies, où brillent

Les chefs-d’œuvre nouveaux en pompeux exemplaires ;
Souvestre, Turquety, Chateaubriand, Hugo,
Surchargeant les comptoirs de leurs in-octavo

des cours, de la Bibliothèque,

Que Maillet met en ordre et range par étages…

et des promenades. La poésie lyrique est représentée par Prière, d’Émile Langlois.

On annonce, en vers toujours, le bal du Cercle musical, la première soirée du Concert Musard, la représentation du cirque. Le compte rendu du théâtre est aussi en vers ; et le vo-

  1. Le prix avait augmenté et le libraire vendeur était maintenant Molliex.