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Page:Timothée Dehay - Les colonies et la métropole - le sucre exotique et le sucre indigène.djvu/357

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Chapitre XIV. La Politique.
Récapitulation des intérêts déjà traités. — Nouveaux intérêts politiques. — Considérations extérieures. — La fabrication du sucre est à jamais implantée en Europe. — Quels sont les pays d’Europe où elle n’est pas encore encouragée. — Le sucre de betterave dans le Nouveau-Monde. — L’Amérique du Nord et l’Amérique du Sud. — Chaires pratiques pour son enseignement à l’étranger. — L’Angleterre seule fait exception. — Sa philantropie et ses calculs politiques. — Sa prévoyance en défaut. — La betterave est un grand sujet d’inquiétude pour le gouvernement britannique. — Mépris simulé de ses économistes. — Sans la persévérance des fabricans français cette conception du génie serait encore une chimère. — Aveuglement de nos ministres. — La paix et le maximum possible colonial. — La guerre et la privation de la denrée. — L’abolition de l’esclavage et le monopole anglais. — Le sucre de canne anglo-indien et le sucre de betterave hollandais-prussien. — Considérations intérieures. — Augmentation de la valeur territoriale. — Perfectionnement de l’agriculture. — Amélioration des bestiaux. — Exploitation des houilles de France. — Progrès des sciences. — Hygiène publique. — Salubrité des ateliers. — Moralisation de l’ouvrier. — Civilisation du paysan. — Statistique législative de la répression du paupérisme. — Inefficacité des rigueurs salutaires. — Progrès d’améliorations dans les villes. — Extinction de la mendicité dans les campagnes. — Réflexions 
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TROISIÈME PARTIE.
LES COLONIES ET LA MÉTROPOLE.
Chapitre XV. On n’a jamais abordé la véritable question.
Projets de conciliation. — Projets hostiles. — Un terrain plus large. — Au lieu de vouloir détruire nous voulons édifier. — Cri des colonies. — Devise de la fabrication indigène. — D’où vient la prolongation de la crise ? — On est toujours resté à côté de la question. — On a effleuré quand il fallait approfondir. — On a fait une mauvaise loi parce qu’on n’a pas eu le courage d’en faire une bonne. — La véritable question. — La fabrication indigène peut-elle vivre avec la fabrication exotique ? — Que l’on se prononce franchement entre les deux industries. — Mais il faut s’entendre, et pourquoi ? — La fabrication du sucre de canne ce n’est pas là toutes les colonies. — Le choix fait entre les deux fabrications comment indemniser la partie sacrifiée ? — On peut encore arriver à la prospérité du sucre indigène et à la prospérité des colonies, et comment ? — Réflexions 
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