comédie. Dans le premier cas, tu dois m’expliquer les causes de ton évolution ; dans l’autre cas… Tiens, ne me force pas à te mépriser.
Maxime contenait mal sa colère.
— Nous ne nous comprendrons jamais.
— Je ne me ferai pas complice d’une mauvaise action.
— Vous me condamnerez à la misère…
— Travaille.
— Vous me barrez le chemin que vous pourriez m’ouvrir… Tant pis ! mais ne comptez pas sur ma reconnaissance filiale.
— Ah ! ta reconnaissance, ton respect ! Je sais ce qu’ils valent… C’est donc par intérêt que tu t’es rapproché de nous… Tu n’as pas de cœur…
Maxime frappa sur la table :
— Savez-vous ce que vous faites ?… Savez-vous ce que je ferai, moi, si vous me poussez à bout ?
— Maxime ! supplia la mère…
— Oh ! tu es capable de tout, cria M. Gan-