Aller au contenu

Page:Tinayre - L Amour qui pleure.djvu/150

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

du voisinage ; elle parlait abondamment, et ses paroles engourdissaient encore l’âme angoissée de l’artiste comme un bain d’eau tiède.

Le soir, sous la lampe, on jouait au bridge.