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plus, et Naples même, dans vingt ans, ne sera plus Naples. Elle deviendra une ville banale et prospère, industrielle et commerçante, et les horribles vicoli du Carmine, pleurés des peintres, seront remplacés par des cités ouvrières. Des Granili à Torre del Greco s’étendra une Naples enfumée, active et triste, où la morale entrera avec l’hygiène. Et les dieux attardés s’en iront, et Vénus Pompéienne ne sera plus qu’une pièce de musée pour la joie des archéologues…