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XIX
Un après-midi de fin septembre, Jacqueline quittait Chartrain. Elle semblait un peu triste, ce jour-là, et inquiète. Il l’interrogea :
— Vous vous êtes mise en retard. Craignez-vous d’être grondée ?
— Non, mais je suis préoccupée.
— À cause de moi ?
— À cause de Paul.
— Soupçonnerait-il ?…
— Il ne soupçonne rien, mais depuis quelques jours il est souffrant. Il est enroué. Il tousse. Pourvu qu’il ne soit pas allé m’attendre à la gare ! Le temps est si mauvais !
— Mais son indisposition n’est pas grave ?