Page:Tolstoï - Œuvres complètes, vol15.djvu/323

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dresse et la persuasion, il y avait encore espoir de la sauver, de la forcer à se ressaisir, et, chaque fois, il se promettait de lui parler. Mais dès qu’il commençait à causer il sentait cet esprit du mal et du mensonge, qui s’emparait d’elle, s’emparer aussi de lui, et il lui parlait d’un tout autre ton qu’il aurait voulu. Malgré lui il causait avec elle de son ton habituel, railleur, et de cette façon il ne pouvait lui dire ce qui était nécessaire.

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