Page:Tolstoï - Œuvres complètes, vol15.djvu/407

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très simple, je l’ignore et ne pense pas à lui. Il n’existe pas pour moi.

— Tu ne dis pas la vérité. Je te connais, tu souffres aussi pour lui.

— Mais il ne le sait même pas, dit-elle ; et tout à coup une vive rougeur couvrit son visage, et des larmes de honte parurent dans ses yeux. Mais ne parlons plus de lui.