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Page:Tolstoï - Œuvres complètes, vol37.djvu/238

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tendaient à expliquer, à justifier, le châtiment dont la nécessité était admise comme un axiome.

Nekhludov continuait à lire beaucoup, mais n’y consacrait que ses loisirs. Il attribuait à son étude superficielle l’insuccès de ses recherches et il espérait trouver par la suite cette réponse. Aussi ne se permettait-il pas de croire que la réponse qui, les derniers temps, s’offrait à lui de plus en plus fréquemment, fût juste.