Page:Tolstoï - Œuvres complètes, vol4.djvu/120

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

de tous ses actes, ni Praskoukhine, être nul et inoffensif, bien qu’il tombât au champ de bataille pour la religion, le trône et la patrie, ni Mikhaïlov, avec sa timidité, ni Pest, l’enfant sans convictions ni principes fermes, ne peuvent être pris pour les malfaiteurs ou les héros de ce récit.

Le héros de ma nouvelle, que j’aime de toutes les forces de mon âme, que je tâche de montrer dans toute sa beauté, et qui toujours fut, est et sera beau, c’est la vérité.