Page:Tolstoï - Œuvres complètes, vol4.djvu/187

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s’adressant à un soldat, comme pour justifier devant lui les paroles du chef de la compagnie et le convaincre qu’en elles il n’y avait ni vantardise, ni invraisemblance.

En quittant les soldats, Kozeltzov se rendit à la caserne chez ses camarades les officiers.