Page:Tolstoï - Œuvres complètes, vol4.djvu/237

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En traversant le pont, une fois de l’autre oôté, chaque soldat enlevait son bonnet et se signait. Mais derrière ce sentiment s’en cachait un autre, pénible, plus profond, tenant du repentir, de la honte et de la colère. Presque chaque soldat, en regardant au nord Sébastopol abandonné, avec une amertume indicible dans le cœur, soupirait et menaçait les ennemis.