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caractère nettement autobiographique, surtout le dernier récit, qu’on peut considérer comme des notes de voyage en Europe occidentale.


II


1) Albert a été traduit en français par MM. Tseytline et Jaubert en 1889 ; ce récit a paru chez l’éditeur Savine dans le volume Les Décembristes, où il accompagne le récit de Tolstoï Les Décembristes.

2) Le Bonheur conjugal a trois traductions françaises.

a) Celle du comte d’Hauterive sous le titre Katia, et sous-titre Le bonheur de la famille. Cette traduction parut en 1899 chez Perrin. Signalons un changement volontaire de nom apporté par le traducteur : l’héroïne du roman de Tolstoï se nomme Macha ; à ce nom, le traducteur substitue celui de Katia ; Katia c’est le nom de la gouvernante de l’héroïne.

b) Le Bonheur conjugal, traduit par M. Michel Delines, a paru chez Flammarion, dans la collection à 0 fr. 60 des auteurs célèbres, sous le titre : Le Roman du Mariage.

c) Dans les Pages choisies des auteurs contemporains (Tolstoï, édition A. Colin), nous trouvons des extraits de ce roman sous le titre : Mon mari et moi.

On nous signale une omission dans la bibliographie du volume v. Outre les traductions y mentionnées du Bonheur conjugal, il en existe d’autres : l’une éditée chez Chailley en 1895 sous le titre Bonheur intime ; et sous le même titre : Bonheur intime, la traduction de M. De Hessem (1890), édition Kolb.