Page:Tolstoï - Œuvres complètes, vol8.djvu/147

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Da der Feind mit seinem linken Fluegel an die mit Wald bedekten Berge lehnt, und sich mit seinem rechten Fluegel laengs Kobelnitz und Sokolnitz inter die dort befindlichen Teiche zieht, wir im Gegentheil mit unserem linken Fluegel seinem rechten sehr debordiren, so ist es vorteilhaft Fluegel des Feindes zu attackiren, besonders wenn wir die Doerfer Sokolnitz und Kobelnitz im Bezitze haben, wodurch wir dem Feind zugleich in die Flanke fallen und ihn auf der Flœche zwichen Schlapanitz und dem Thuerassa-Walde verfolgen kœnnen, indem wir dem Defileen von Schlapanitz und Bellowitz ausweichen, welche die feindliche Front decken. Zu diesem Endzweke ist es nœthig… Die erste Kolonne marschirt… die zweite Kolonne marschirt… die dritte Kolonne marschirt etc.[1], lisait Veyroter. Les généraux semblaient écouter avec ennui cette disposition compliquée. Le général Bouksguevden, blond, grand, était debout, le

  1. Puisque l’ennemi s’appuie de son aile gauche sur les montagnes boisées et de l’aile droite s’étend le long de Kobelnitz et de Sokolnitz, derrière les étangs situés là, et que nous, au contraire, avec notre aile gauche, dépassons de beaucoup son aile droite, alors il nous sera avantageux d’attaquer cette aile ennemie surtout si nous occupons les villages Sokolnitz et Kobelnitz ce qui nous donnera la possibilité d’attaquer l’ennemi de flanc et de l’acculer dans la plaine entre Schlapanitz et la forêt de Thurass, en évitant le défilé entre Schlapanitz et Bielovitz qui couvre le front de l’ennemi. Pour atteindre ce but il faut… la première colonne marche… la deuxième colonne marche… la troisième marche…, etc.